The Cooper Story - Chapitre 10

Auteur : gag_jak

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Chapitre 9 :
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Sly n’en revenait pas, tout son corps était comme pétrifié, la découverte qu’il venait de faire l’avait bouleversé. Il dut se tenir a la rampe du balcon métallique pour s’empêcher de tomber à la reverse. Il tremblait. Au bout d’un moment, il se décida à regarder la vérité en face.

« Il y a forcement les détails de la construction de Clockwerk dans The Cooper’s storie ! Mais comment est-ce possible ?? »

Il parcouru la salle des yeux, les monstre était aligné en rangée de dix, il compta sept rangée.

« Ça nous fait donc soixante-dix Clockwerk, mon dieu … »

Sly descendit doucement les escaliers, le bruit de ses pas sur les marches métalliques résonnaient dans toute la salle. Une fois en bas, il marcha prudemment vers le premier monstre de la première rangée. Une fois qu’il s’était assuré qu’il ne bougeait pas, il posa la main sur une des grandes ailes. Le métal était glacial, il marcha tout le long de la rangée, comme s’il cherchait quelque chose, mais lui-même ne savait pas quoi…
Bizarrement, il se sentait menacé. Enfin c’est vrai, tous ces monstres étaient, certes, inertes, mais ils représentaient un terrible danger ! Leurs paupières grises étaient fermées, cachant leurs horribles yeux jaunes. Sly se souvenait du mal qu’il avait eu à en vaincre un seul, alors soixante-dix !! Cette mission comportait beaucoup plus de danger que ce qu’il pensait au départ.

« Bobby Cradje est quelqu’un de …. Surprenant, et de vraiment terrifiant, la victoire n’est pas assuré … »

Sly était arrivé a la fin de la rangée de dix, il obliqua sur la droit pour continuer son rectangle, il passait maintenant sur une rangée de sept. Les Clockwerk étaient parfaitement rangé les uns derrière les autres. Ils étaient parfaitement construits, et Sly ne doutait pas une seule seconde qu’ils puissent se mettre en marche.

« J’en ai déjà affronter un, il doit y avoir d’autre salle comme celle-ci je pense »

Le raton repéra une grande porte de l’autre coté de la salle, surpris, il se mit à courir et atteignit la porte assez rapidement. Elle faisait quatre mètre de large et cinq de haut. Elle pouvait s’ouvrir en deux portes, la poigné servait à ouvrir celle de droite. Il y en avait certainement une autre de l’autre coté pour ouvrir celle de gauche, pensa Sly.
La poignée était sécurisée par un code à quatre chiffres.


« Pff, trop facile »

Sly posa la main sur le code.
Les yeux du Clockwerk au bout de la première rangée s’ouvrirent d’un seul coup, laissant apparaître les diaboliques yeux jaunes.
Sly essaya plusieurs combinaisons, sans succès.
Les yeux d’un autre Clockwerk au milieu s’ouvrirent.
Sly essaya un code, encore et encore. Il entendit un bruit strident derrière lui. Comprenant, il se mit à trembler.

« Oh non ! »

Il se tourna et aperçut se qu’il craignait. Deux rapaces volaient en cercle dans le hangar.

« Vite !! »

Sly entra plusieurs codes, sans y croire. Un premier Clockwerk planta ses serres acérées dans le mur, à dix mètres de Sly. L’autre les planta au dessus de sa tête. Des petits grain de béton tombèrent sur le crâne de Sly (il avait perdu sa casquette lors de la monté de la falaise). Le raton recula à toute vitesse, il marchait à reculons, regardant les deux grands oiseaux sur le mur, qui le fixait d’un air terriblement mauvais. Sly recula tellement qu’il fonça sur un des robots et le choc le fit tomber. Sly se releva, se retourna et remarqua que le monstre avait tourné la tête et que ses yeux jaunes étaient étincellent.


« Fuir, je dois fuir ! »

Le raton regarda vers le toit et remarqua que trois Clockwerk volaient. Un des rapaces du mur fonça sur lui, Sly, d’un brillant réflexe, plongea sur le coté. La chose que l’oiseau serrait entre ses serres n’était autre que le Clockwerk que Sly venait de réveiller. Ce denier hurla d’un cri strident et suraigus, Sly dut plaquer ses mains sur ses oreilles pour que ses tympans aient une chance de survivre. Le monstrueux hurlement fit ouvrirent les yeux de tout les Clockwerk inertes.

« Je suis maudit »

Tous, dans le même battement d’ailes, décollèrent et volèrent en rond, ciblant Sly. Un des monstres, en battant des ailes, en plaqua une contre le mur. L’oiseau tomba en chute libre et s’écrasa contre le balcon, emportant le seul espoir de Sly.

Cradje observait la scène dans son bureau, il riait à grand éclat. Le téléphone à coté de lui sonna. Il le décrocha.

- Oui ? demanda-t-il. Ok je vois, libérez la salle 205.

Il raccrocha, son humeur avait grandement baissé, il marmonna entre ses dents :

- Maudite Carmelita !


Sly avait presque envie de mourir. Mais il s’agissait d’une affaire familiale, il fallait qu’il sauve son honneur. Il ne pouvait pas mourir !!! Les Clockwerk se bousculaient, s’accrochaient au plafond, au mur … Quelques uns descendaient en piquer sur le raton, le forçant à faire un saut latéral pour éviter. Sly réfléchis à toute allures… Il fallait qu’il se dépêche !!

« J’ai trouvé ! »

Cradje était toujours devant ses écrans, il regardait le raton.

- Allez, je ne vais quand même pas stopper mes robots pour que tu survives ? Je serais très fâché si je devais le faire.

Sly courut vers la porte à codes. Un oiseau descendit sur lui et lui griffa le bras, libérant un petit flot de sang. Le raton faillit perdre l’équilibre, il se redressa et courut le plus vite qu’il pouvait. Il devait sûrement battre le record de cent mètres. Sly atteignit le mur. Tous les regards des Clockwerk étaient fixés sur lui. Sly mit deux doigts dans sa bouche et siffla. Le robot le plus proche lui fonça dessus à toutes allures. Sly sauta sur le coté au tout dernier moment, le monstre s’écrasa sans douceur contre le mur, laissant place à un trou d’un mètre d’espace. Sly enjamba l’oiseau (en profitant de l’occasion pour lui donner un coup dans la face), et passa à travers le trou. Les Clockwerk ne pouvaient pas passer, ils étaient bloqués.

« Ça y est, j’ai réussi. Mais il faut que je sorte de cette zone avant qu’il ne détruise le mur ! »

La pièce dans laquelle il se trouvait était beaucoup plus petite, mais elle était éclairée seulement grâce au trou dans le mur. Il faisait donc très sombre.
Loin de Sly, il se passa quelque chose qu’il ne pût entendre. Une explosion venait de se produire sur le mur du château.



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