Ratchet & Clank: La Légende du Pirate de L'Air - Chapitre 1

Auteur : Membre supprimé

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Chapitre I
Introduction


Il y a quelques millénaires,il existait, dans un coin de l’Univers, une Planète nommée Aridia. Les habitants étaient heureux. Ils vivaient paisiblement, et il n’y avait jamais eu de problèmes graves. Pas de guerres, pas d'attaques…Parfois, quelques météorites percutaient sur le sol verdâtre de cette étoile. Quelques morceaux de ces roches brûlantes sont encore là-bas, car les habitants sont faibles, et ils sont incapables de les déplacer ou de les supprimer. Ce sont les Athors, des espèces de petits monstres, aux yeux globuleux, maigres, qui ne font que marcher de toute la journée. Leur travail consiste à négocier avec d’autres planètes. Ils apportent de la nourriture typique d’Aridia, les fruits de l’Alpacinoos. C’est un fruit, qui donne du courage à celui qui va le manger.Son goût sucré donne envie d'en manger plusieurs, mais il peut-être très dangereux : si ce fruit n’est pas purifié par un chaman d’Aridia, il sera mortel pour celui qui le mangera. De plus, trop en avaler serait comme du poison.
Les Athors négocient ces fruits, les fruits de l’Alpacinoos, avec un grand chef d’Armée : le Colonel Dorado. Ce renard anthropomorphe aux muscles saillants à battu plus d’une armée robotique, agorienne et tyranoïde. Il a gardé une trace : sa cicatrice sur son œil que lui avait causé son pire ennemi, un des chefs des Agoriens , Rodolf. Le combat s'était déroulé ainsi: Ils étaient tous seuls, sur une lune, et chacun d'eux avait une arme en mainemojiorado une large épée, et Rodolf, un couteau bien éguisé. Rodolf se jetta sur le renard, et lui planta son arme dans l'œil.Mais, Dorado finit par le vaincre en lui coupant la tête.Depuis, il garde sa cicatrice .
Dorado à une base secrète dans l’Espace. Dedans, son armée,et son fils : Don Karnage.
Ce dernier avait toujours voulu être comme son père. Il lui a proposé un jour de conquérir l’Univers. Son père lui avait dit : Cela est trop dur pour nous, fils. Et tu es trop jeune. Conquérir l’Univers. Tu te rends compte ?
Vexé et furieux, Don Karnage tua son père, et hérita de son armée. Il décida de conquérir Aridia.
Il construit un bateau volant, et fut nommé premier Pirate de l’Air.
Après trois jours de conquête, Aridia se transforma en une Planète sans verdure, et sèche. Des déserts étaient ce qui envahissait le sol.
Karnage avait alors conquit tous les secteur de Polaris, mais il lui manquait de conquérir Métropolis, la Capitale de Marcadia. Il voulut gagner cette terre sauvagement et rapidement. Croyant que cette ville serait facile de prendre, il y alla tout seul. Mais, quand il fut aux portes de Métropolis, un Général Cazar, Greg Phyronix, le tua en lui plantant son couteau en plein coeur. Il s'effondra par terre, son torse ensanglanté, et honteux. Plus tard, la ville entière le brûla, et son corps disparut à tout jamais…ou peut-être pas.




Aujourd'hui…

Une légère brise flottait dans l’air. Le soleil cognait assez fort dans la décharge de Monoloth, à Torren IV. Un Vullard, chargé de sa ferraille dans son dos, marchait tranquillement dans le sol sec. Ses yeux restaient rivés devant lui, comme si il était hypnotisé. Il traversa des ponts, jusqu'à arriver à un endroit, une large plaine ou le sol est rempli de sable. Il déposa ses affaires par terre, et examina cet endroit. Des pierres ornaient le sol, et des tas de ferraille étaient éparpillés partout. Il n’entendait que le vent, qui passait par là. Il soupira, et regarda le ciel. Le soleil l’aveuglait, mais il s’en fichait. Il murmura :
- Si je pourrais être riche, si je serais moins misérable, au moins, je ne fixerai pas le soleil pour me rendre aveugle. S'il vous plaît, Grand Dieu,juste un peu de richesse me rendrait plus heureux .
Soudain, ses yeux se tournèrent vers un autre endroit. Vers des broussailles. Il vit quelque chose briller.
-Ça doit être le soleil, se dit-il. Ou pas.
Il alla donc voir, s’approchant doucement au cas où. Arrivé près de cet endroit, il mit sa main devant lui, si quelqu’un se lançait sur lui. Il éparpilla l’herbe sèche, et découvrit un petit revolver qui brillait au soleil. Son manche était en cuir, et son canon en argent pur. Le Vullard resta bouche bée, les yeux écarquillés. Les mains tremblantes, il saisit l’arme, et la contempla longuement. Il leva les yeux au ciel et murmura :
« Merci, mon Dieu ! »
Tout à coup, il sentit un fragment de métal planté dans son dos. Il tremblait, et lâcha le revolver. Mais réussit à se retourner. Il émit un gémissement en voyant son ennemi. C’était un loup orange. Il avait des cicatrices dans sa figure dont une dans l’œil, et une longue blouse bleue. Sa queue fouettait l’air, et ses dents pointues et aux pointes acérées tachées de sang brillaient au soleil. Il ricana, en pointant toujours son arme dans la poitrine du robot.
- Don…Don Karnage, le Pirate de L’air ! s’exclama le Vullard.
-Oui, exact, c’est moi, grogna le loup. Tu me connais alors.
Le robot, gêné, émit un gémissement. Puis il réussit à articuler entre ses mâchoires en métal rouillées :
-Tu…tu as…ressuscité ?
Don Karnage sourit. Il était content de savoir qu’un être aussi désolant qu’un Vullard connaisse son histoire. Il savait qu’il était connu dans l’Univers entier.
-A vrai dire, oui. C’est…quelqu’un qui m’a ressuscité. C’est un intrépide, qui a osé toucher…A mon revolver…
Le Vullard tremblait. De plus en plus. A cause de lui, l’Univers était menacé une deuxième fois.
-Oui, continua le loup. Celui qui touche un objet d’un mort fera que ce dernier ressuscite. C’était mon père qui m’avait dit ca, avant que je le tue.
Il gloussa. Il enleva son épée de la poitrine du Vullard, et toucha la lame avec sa griffe.
-Je peux te dire quelque chose : merci. Tu m’as fait revivre. Hélas, je ne peux pas confier en toi. Je sais que, tu vas dire cette nouvelle à tous tes amis. Alors…
Tout à coup, il leva son bras, et coupa la tête du robot, qui tomba parterre. Des étincelles jaillissaient des câbles, et le corps en ferraille tomba aussi. Don Karnage profita de la mort de sa victime pour prendre le révolver et le fourrer dans sa ceinture. Il se retourna en sifflotant, son épée à la main.
-Je suis…une nouvelle menace…



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