Sujet : [Topic Officiel] Blabla !

Humour


Sourire peut impliquer un sens d'humour et une émotion d'amusement, comme le démontre le personnage de Falstaff d'Eduard von Grützner.
L'humour, au sens large, est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité »1.
L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. L’humour peut être employé dans différents buts et peut, par exemple, se révéler pédagogique ou militant. Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte.
L'humour permet à l'Homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le remarque Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif2 en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Beaumarchais écrivit « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer »3. Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

Sommaire [masquer]
1 Étymologie
2 Registre humoristique
3 Formes
3.1 Humour noir
3.2 Humour pince-sans-rire
3.3 Humour d'observation
4 Recherches
4.1 Origine et rôle
4.2 Thérapie
4.3 Pédagogie
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Bibliographie sélective
6.2 Articles connexes
6.3 Liens externes

Étymologie

Le mot humour provient de l'anglais humour, lui-même emprunté du français « humeur »4. L'humeur, du latin humour (liquide), désignait initialement les fluides corporels (sang, bile…) pensés comme influençant sur le comportement.
Vers 1760, les Anglais utilisent le terme humour dans le sens « tempérament enjoué, gaîté, aptitude à voir ou à faire voir le comique des choses » pour se vanter de posséder un certain état d'esprit actuellement nommé humour anglais. À la même époque, le sens du mot français « humeur » suit une évolution semblable4.
Le mot « humour » est attesté pour la première fois en français au xviiie siècle, entré en France grâce aux liens qu'entretenaient les penseurs des Lumières avec les philosophes britanniques.
À la fin du xixe siècle, quand les auteurs français s'interrogeaient encore sur le sens exact de l'humour anglais, Félix Fénéon définissait ainsi celui de Mark Twain :
« L'humour est caractérisé par une énorme facétie (émergeant parfois d'une observation triste) — contée avec la plus stricte imperturbabilité, avec toutefois un dédain très marqué de l'opinion du lecteur ; ses moyens favoris sont le grossissement forcené de certaines particularités, — l'inopinée jonction de deux très distantes idées par l'opération d'un calembour ou par un jeu de perspective littéraire, — l'accumulation patiente de détails allant crescendo dans le baroque, mais déduits avec une logique rigoureuse et décevante5. »

Registre humoristique

Dans son sens strict, l’humour est une nuance du registre comique qui vise « à attirer l’attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou insolites de la réalité »4,6. Toutefois, dans le langage courant, le sens du terme s'est élargi pour désigner le comique, c'est-à-dire l'ensemble des procédés visant à susciter le rire ou le sourire7,8.
L'humour est indissociable du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est, parmi les tonalités littéraires, ce qui permet l'humour ; il en existe principalement 6 formes (situation, mots, gestes, caractère, mœurs, répétition). En sorte, l'humour utilise nécessairement une forme de comique, mais toute manifestation comique n'est pas forcément humoristique.
Auparavant, il était question de trait d'esprit dans le domaine littéraire. Le trait d'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide et pince-sans-rire, constaté chez des auteurs du siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.
Pour Paul Reboux, l'humour consiste tout simplement à « traiter à la légère les choses graves, et gravement les choses légères ».
Certaines[Lesquelles ?] formes d'humour peuvent utiliser l'ironie ou le sarcasme.
Ainsi, l'humour reste une notion floue, à la croisée d’autres concepts qui lui sont proches tels que le comique, le trait d'esprit, l’ironie ou le burlesque.

Formes

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Les apparitions les plus connues de l'humour se font dans les histoires amusantes, qualifiées de « drôles », désignées fréquemment sous le vocable de blagues. Il se manifeste cependant de manières très diverses et n'est pas toujours explicite (c'est le cas de l'ironie, de la pointe, de la remarque pince-sans-rire) ; des gestes même peuvent être comiques. Si l'humour est toujours volontaire, un individu peut être comique sans le vouloir. L'humour apparaît aussi sous forme de bande dessinée (pour adultes ou jeune public).

Humour noir

L'humour noir est une forme d'humour qui s'appuie sur des éléments tristes ou désagréables et les tourne en dérision et « rire jaune » un rire forcé et amer. De fait, l'humour n'est pas nécessairement lié à la joie.
Article détaillé : Humour noir.

Humour pince-sans-rire

L'humour pince-sans-rire est une forme particulière d'humour, caractérisée notamment par l'air sérieux de la personne qui en fait preuve, que l'on peut rapprocher de l'humour noir.
Article détaillé : Pince-sans-rire.
Humour d'observation[modifier | modifier le code]
L'humour d'observation est une forme d'humour se basant sur la caricature de situations du quotidien. C'est la forme d'humour la plus répandue dans le domaine du one-man-show, particulièrement dans le stand-up.
Article détaillé : Humour d'observation.

Recherches

L'étude de l'humour et ses effets (gélotologie) entre dans le champ disciplinaire de la psychologie, de la philosophie, de la linguistique, de la sociologie, de l'histoire, de la littérature et de la médecine.
Origine et rôle[modifier | modifier le code]
Les origines et les fonctions du rire engendré par l'humour sont difficiles à cerner mais il est reconnu depuis l'Antiquité comme ayant une fonction cathartique.
Pour certains éthologues, le rire, constaté chez certaines races de singes, est avant tout le rictus, c'est-à-dire un soulèvement des lèvres afin de montrer les dents ; il pourrait donc être une forme de violence détournée, une inclination à l'agression résumée en une grimace. Vu sous cet angle, l'humour permettrait d'évacuer cette violence, née de la frustration et de la souffrance associées à la fonction cathartique. Le lien avec une sensation de malaise peut se vérifier si la gêne est ressentie par l'auditoire et l'orateur lorsque celui-ci rate un trait d'esprit et ne parvient pas à faire sourire.
L'humour est aussi souvent un moyen pour un groupe ou une personne soumis à de fortes pressions sociales ou à de fortes contraintes de s'en échapper. Il peut également être militant.
L'humour est un art contributif au discours de la sagesse et au travail de la culture. Les rires qu'il provoque élèvent alors à la lucidité9.

Thérapie

Il est empiriquement reconnu que l'humour et son effet direct, le rire, a des effets positifs sur la santé. La science contemporaine a découvert que l'humour et le rire participaient, entre autres, à la décontraction des muscles, à la réduction des hormones de stress, à l'amélioration du système immunitaire, à la réduction de la douleur10.
L'humour est également un outil à part entière de l'hypnose ericksonienne. Il permet au thérapeute une communication à plusieurs niveaux : au-delà du sens premier perçu consciemment, une seconde possibilité, voire un champ de possibilités peut être perçu inconsciemment11, et donc envisagé. Mettant sur la voie du changement, l'humour génère ainsi du recadrage.
Pédagogie[modifier | modifier le code]
L'humour peut se révéler être un outil intéressant pour l'enseignement12. Des études ont montré que l'utilisation de l'humour, accompagné d'analogies et de métaphores, permet de mieux mémoriser l'information13,14.


je rajouterais meme que ……………………………….

Définition du rire

Quel est l'origine du rire :

Description : Le rire provient de l'hémisphère droit du cerveau (cortex cérébral), mais il se déclenche au niveau du système lymbique,de notre cerveau primitif.

Que se passe-t-il lorsqu'on rit :

Description : Le rire se propage dans tous les muscles du visage, dans le larynx, le diaphragme, la musculature abdominale et la cage thoracique. Ensuite, une profonde détente envahit tout le corps. Les muscles se relâchent, y compris les sphincters, le rythme cardiaque qui avait augmenté lors de l'éclat de rire commence à diminuer en même temps que la pression artérielle.

Quels sont les effets bénéfiques du rire :

Description : Effets physiologiques :Le rire régularise la respiration en permettant une meilleure combustion de l'oxygène et une plus grande expulsion des déchets. Il améliore le tonus musculaire, l'oxygénation cérébrale, le système cardio-vasculaire, le système digestif et le métabolisme général. De plus, le rire stimule la production des endorphines et des catécholamines qui agissent comme une morphine naturelle. Ces hormones diminuent alors la douleur. Il stimule aussi la production de cellules neurobiologiques et d'adrénaline.

Effets psychologiques :

Description : Le rire agit contre la constipation, diminue le taux de gras dans le sang (10%), prévient les maladies cardiaques, les sinusites, l'insomnie, la dépression et même le cancer. Il diminue le stress , la fatigue, la douleur, l'aérophagie, l'arthrite et l'asthme. Le rire freine même le vieillissement !!! Il paraît aussi qu'il contribue à éviter l'impuissance et la frigidité…

Saviez-vous que… :

Description : En 1940, on riait 19 minutes par jour alors que maintenant on rit en moyenne moins de 3 minutes par jour. Il existe une thérapie par le rire, la rirothérapie. On a même installé dans certains centres hospitaliers des salles où l'on présente toutes sortes de matériels humoristiques qui permettent aux malades de se détendre.

En résumé :

Description : Bref, le rire détend tout l'organisme et invite au bonheur, autrement dit, soyez le plus souvent possible sur HumourDuNet ;-)

Définition de l'humour

Les premières traces de l'humour, c'est chez Aristophane, Ve siècle avant J.-C., qu'on les retrouve. Déjà, à cette époque, les auteurs tournaient en dérisions les hommes politiques ou les personnalités d'Athènes, dont Socrate et Périclès. Ensuite, on se déplace à Rome, Sous l'empire romain, pour faire la connaissance de la commedia palliata, qui ce rapproche énormément de l'humour grec, et de la comédie latine. Cette dernière avait pour particularité que selon leur âge et leur humeur, les personnages se costumaient et portaient une perruque différente.

La suite se déroule au Moyen Age, avec les fêtes bacchanales. Ces festivités avaient pour objet de célébrer Bacchus (équivalent du Dionysos grec), dieu du vin, des jeux et de la danse. Ces fêtes se terminaient par des danses tumultueuses et lascives ainsi que des débauches bruyantes. Parallèlement à cela, toujours au Moyen Age, il y avait les entremets qui consistaient à présenter une mascarade burlesque lors de banquet pour divertir les invités entre les services. Finalement, il serait impardonnable de ne pas parler des bouffons qui, au début, n'étaient que de pauvres individus simples d'esprit et difformes, dont la seule présence faisait rire les plus puissants. Par la suite, la fonction de bouffons s'est raffinée.

A partir du XIIIe siècle, il s'agissait d'une fonction très délicate réservée au plus habile. En effet, les bouffons osaient dire tout haut au souverain ce que tout le monde disait tout bas, et ce, sans se voir condamner à mort. C'est à ce moment que l'humour a été utilisée comme moyen de contestation subtil. Par la suite vint le XVIIe siècle avec la commedia dell'arte, qui consiste à présenter un scénario fantaisiste réglé, mais où les acteurs improvisaient. C'est aussi à cette époque que sont apparu les grands auteurs comme Shakespeare, qui osait mettre des réparties plaisantes ou niaises dans la bouche des domestiques, ou Molière, dont les scénarios tournaient en dérision les grands Sieurs ainsi que les manies de ce siècle.

Le XVIIIe vit apparaître les mots d'esprits, toujours utilisés aujourd'hui. Le XIXe siècle inaugurera la presse satirique, dans les journaux d'opinion, comme moyen de contestation contre, entre autres les régimes politique. Finalement, le XXe siècle amena les blagues en série et les nouvelles technologies (radio, télévision). La télévision permit la montée de plusieurs grandes stars comme Mae West et Georges Burns ou encore le légendaire Charlie Chaplin. Dans les années trente apparurent les duos comiques, composés d'un personnage maladroit et comique accompagné d'un autre plus autoritaire. Il y a quelques décennies débutèrent les ´cartoonsª, qui firent la joie des jeunes et des moins jeunes. Plus près de nous, dans les années 80, les parodies, tant de films que de chansons, se firent sentir de façon plus marquées.

Ce qui est important de comprendre, c'est que de tout temps l'humour est un phénomène culturel. Je m'en suis bien rendu compte lorsque j'ai assisté à un concours de blagues lors d'une fête africaine. J'avais de la difficulté à comprendre en entier les gags, alors que l'auditoire autour de moi pouffait de rire. C'est entre autre à cause des subtilités de la langue, les connotations, les stimuli utilisés, les stéréotypes ethniques, les croyances et le système d'association des significations acquis.

L'humour est souvent utilisé lors de périodes d'inquiétude et de désenchantement, ou lorsqu'il y a trop de pression. Le meilleur exemple est l'autodérision. Qui ne connaît pas Mr. Bean, autodérision de l'île d'Angleterre. Ou encore "La petite Vie" et Elvis Gratton de beaux exemples de l'autodérision québécoise, parce que la culture se sent menacée. D'ailleurs, le Gala Juste pour Rire ouvre le plus grand marché de la comédie au Québec. De plus l'incertitude que les Québécois ont envers leur culture est aussi observable par le grand nombre d'humoristes et d'émissions à caractère humoristique sur le marché en ce moment. Je termine en vous disant que l'humour permet de divertir, sauver la face, faire tomber la tension, obtenir des approbations, masquer des désaccords.

Bref, l'humour est une solution miracle qui ne coûte pas cher et qui peut être efficace si bien utilisé ;-)

Petits exercices pour provoquer le rire.

Vous n'avez pas beaucoup de raisons de rire dans la vie quotidienne ? Créez-les vous-même. Ces exercices vous y aideront. Pour ces mouvements de détente, il est possible de s'entraîner seul, mais le faire à deux est préférable car le rire est communicatif. -Mettez-vous devant la glace et, comme un jeune enfant, faites des grimaces. Puis émettez des rires avec des voyelles différentes (ii, oo, uu, …emoji. Au début, cela vous semblera bizarre, mais avecun peu d'entrainement… -Regardez-vous face à face avec une autre personne et dite "cheese' (prononcez "chizz"emoji en essayant surtout de ne pas rire. -Renouez avec votre enfance et jouez à "je te tiens par la barbichette, le premier de nous deux qui rira aura une tapette…" Irrésistible! -Riez de vous-même, c'est encore la technique la plus "décapante". Si vous êtes maladroit, essayez de vous moquer de vous, cela vous donnera le sens de l'humour. -Essayez de vous rappeler d'un fou rire que vous avez eu. Sa seule évocation vous mettra de bonne humeur. -Chantez des chansons à vos enfants au lieu de les laisser devant la télévision. Inventez-leur des contes, faites des tours de magie ou mettez en scène des sketches où ils participent activement. Vous n'êtes pas obligé de faire compliqué: un nez rouge, une perruque, des faux cils… et le tour est joué. Le simple fait de mettre un nez rouge suffit à déclencher le rire aussi bien chez les enfants que chez les adultes. -Ecoutez les disques et cassettes des comiques et chansonniers quevous appréciez. -Regardez des spectacles comiques,sur la scène d'un ncafé-théâtre ou à la télévision. -Ecoutez une radio "marrante"

Le risible est partout. (Dr Henri Rubinstein)

Comme la forme physique, le sens de l'humour et la capacité à rire s'entretiennent. Explications du Dr Rubinstein, un pionnier de la gélothérapie par le rire. Quels sont les exercices de base pour rire? On peut, à partir d'une éducation respiratoire,retrouver le rythme du rire, et par un entraînement, en revivre les conditions psychiques. L'exercice type comporte une inspiration courte de deux à trois secondes, suivie d'une pause respiratoire de cinq à dix secondes. Répétée plusieurs fois, cette gymnastique déclenche inévitablement le rire. Tout le monde peut la pratiquer, seul, dans n'importe quelles conditions. Vous prônez aussi la commercialisation du gaz hilarant… Le protoxyde d'azote n'est pas une drogue, il agit sur les centres du rire et de l'humeur, en réduisant leur niveau de tension. La jubilation instantanée par inhalation de faibles doses de ce gaz est utilisée dans certains centres médicaux aux Etats-Unis. Retrouver l'humeur ludique, n'est-ce pas acquérir les principes de la pensée positive? Absolument. Cela consiste à retenir l'aspect constructif des choses (une bouteille à moitié vide est une bouteille à moitié pleine). Certaines attitudes pratiques aussi, devant la vie, contribuent à réduire les tensions. Ne pas s'imposer des obligations sociales, familiales ou professionnelles, se préparer aux changements pour s'y adapter, se ménager des situations compensatrices de détente. Hélas! on n'a pas aussi souvent l'occasion de rire dans la vie! Avoir le sens de l'humour ne signifie pas rire de tout à tout propos. C'est être capable d'apprécier le côté comique des choses en même temps que leur côté sérieux. L'humour permet de chasser les pulsions hostiles et l'accumulation des petits stress quotidiens. C'est une libération périodique de la logique, du sérieu et des responsabilités de la vie. Il n'est pas trop difficile de trouver les occasions de rire si l'on est en humeur de les apprécier. Dans la rue, en bus, en métro ou en voiture, à son travail, à la maison… c'est affaire d'appréciation personnelle et surtout d'état d'esprit. Le comique est partout pour qui sait le voir.

Merveilleux médicament aux mille vertus.

Depuis quelques années, il fait l'objet d'études scientifiques très sérieuses. Economique, sans contre-indication et à la porté de tous, le rire,outre le plaisir qu'il procure, possède des vertus thérapeutiques insoupçonnées. Le rire déclenche des mécanismes musculaires, respiratoires et influence de façon bénéfique le système hormonal. Quand nous rions, se produit une véritable onde de choc qui se transmet, de muscle en muscle, en augmentant d'intensité. Les muscles du visage se contractent, notamment le dilatateur desnarines (celui qui d'ailleur nous fait pleurer de rire) et les zygomatiques (aux commissures des lèvres et des pommettes). Un massage facial s'opère, la circulation sanguine au niveau des petits vaisseaux superficiels du visage s'accélère, la peau est lissée. Quand nous pouffons de rire, le cou libère ses tensions, le dos ses contractures. Côté coeur, les battements se font plus rapides et plus forts. Aprés s'être rétrécies, les artères se dilatent, provoquant ainsi une sensation de bien-être et de plénitude. Les poumons, en situation de surpression, rejettent des quantités d'air phénoménales à 100km/h. Cette gymnastique respiratoire profite aux anxieux ainsi ,qu'à tous les sujets atteints d'asthme et d'emphysème. Enfin, à chaque fois que nous rions à gorge déployée, l'oxygène afflue dans le sang, éliminant sur son passage les toxines prèsentes dans l'organisme (les sucres, les graisses et le mauvais cholestérol). De plus, les abdominaux, en se contractant violemment, offrent un massage excellent pour la digestion et le transit intestinal. Pour le Dr Sylvain Mimoun, psychosomaticien à Paris, une, seule minute de rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation. Et selon le Dr Henri Rubinstein, neurologue à Paris, quelques minutes de rire par chatouillements, réparties tout au long de la journée, sont l'équivalent d'au moins une heure de culture physique.

Stimulant hormonal et puissant antalgique.

En chatouillant le centre de l'hilarité situé dans le cortex, une petite zone du cerveau où se trouve aussi le siège de nos émotions, nous stimulons de nombreuses hormones, toutes plus essentielles les unes que les autres. D'abord les cathécholamines, les ormones de l'éveil, qui donnent l'alerte aux anticorps chargés de défendre l'organisme contre les virus et les microbes. En outre, ces hormones court-circuitent les processus inflammatoires, en particulier les inflammations articulaires. Ensuite, les endorphines, les hormones euphorisantes ou hormones du plaisir, du bien-être (ce sont elles qui aident à penser positif et à gérer le stress). Outre leur action anti-dépressive, elles possèdent une action antalgique (anti douleur) remarquable (ces morphines naturelles sont jusqu'à 200 fois plus puissantes que la morphine chimique. En détournant l'attention, en relâchant les muscles et en déclenchant un "orage hormonal", le rire "anesthésie" les souffrances chroniques et capricieuses. Ses effets sont particulièrement spectaculaires sur les douleurs liées à la tension musculaire.

Contre les insomnies.

Une soirée passée à rire, au spectacle ou entre amis, un film hilarant… sont les meilleurs alliés du sommeil. Cette fois, c'est une autre hormone, la sérotonine, qui entre en jeu. Cette substance apaisante contrôle l'endormissement et le sommeil lent. Elle succède tout naturellement aux hormones de l'éveil. Parce qu'il chasse les idées noires, épuise la tension, évacue le stress et la fatigue, le rire est vivement conseillé aux insomniaques, surtout aux hommes qui, passé le cap de la cinquantaine, perdent en sommeil lent, profond et récupérateur.

Contre les troubles digestifs.

Le rire a aussi un impact positif sur l'appareil digestif. Outre la gymnastique abdominale qu'il provoque, il accélère la production de sucs gastriques et d'enzymes nécessaires à la digestion. De plus, il s'avère souverain pour toutes les affections intestinales psychosomatiques. C'est le cas notament de la colopathie fonctionnelle (le sujet ne présente aucune lésion mais souffre de troubles du transit) qui touche la moitié de la population. La clé de voûte du traitement est l'approche psychologique (le moral, la bonne humeur et tout ce qui apaise et détend, comptent tout autant que les médicaments et le régime alimentaire…, remarque le Dr Tuszynski, gastro-entérologue en région parisienne.

L'intellect au mieux de sa forme.

Les endorphines ne se contentent pas d'augmenter le tonus et de diminuer la douleur: elles rendraient plus intelligent! Les travaux de la célèbre endocrinologue américaine Miriam Diamond ont montré que les personnes produisant de nombreuses endorphines, non seulement ne perdaient pas de neurones en vieillessant, mais que ceux-ci augmentaient en nombre et s'allongeaient. Bref, les personnes dotées d'un sens de l'humour développé auraient la chance d'avancer en âge en gardant une mémoire intacte et un esprit de plus en plus vif. Le rire est aussi un exutoire formidable: les médecins le recommandent à titre préventif aux biens portants, à tous ceux qui souffrent de stress. Enfin cette thérapie, accessible à tous, est un merveilleux moyen d'intégration sociale!

Vrai ou faux

Deux méthodes sont utilisées pour déclencher le rire. Vrai. Soit l'on stimule les zones dites "gélogènes" (aisselles, côtes, plantes des pieds) qui communiquent le réflexe du rire grâce à tout un réseau neurologique. Soit l'on déclenche la crise d'hilarité par des "chatouillis" psychiques en inventant ou en racontant des histoires … Les mécanismes respiratoires du rire s'apparentent à ceux du yoga. Vrai. Il entraîne une respiration plus ample, une pause respiratoire nettement plus longue qu'au repos. La durée de l'expiration peut, quant à elle, être doublée au cours du rire. Ces variations des temps respiratoires, qui rejoignent les préceptes de contrôle du souffle en yoga, multiplient par 3 ou 4 les échanges d'oxygène. Le rire est signe de bonne santé.Faux. Il devient pathologique lorsqu'il échappe au contrôle du cerveau. C'est le cas chez des patients qui présentent des lésions de certaines zones cérébrales (comme la sclérose en plaque). La maladie d'Alzheimer ou des maladies mentales comme la schizophrénie provoquent aussi des éclats de rire pathologiques. Le rire n'a aucune contre-indication. Faux. Bien que rare, des contre-indications existent. Ce sont les suites d'interventions chirurgicales (appendicites). Mais, contrairement à ce que l'on pense, le rire est tout à fait conseillé aux cardiaques. Dans un premier temps, il augmente le rythme du coeur mais cette manifestation est vite suivie d'un ralentissement et d'une baisse de la tension artérielle très bénéfiques.
Membre supprimé

Humour


Sourire peut impliquer un sens d'humour et une émotion d'amusement, comme le démontre le personnage de Falstaff d'Eduard von Grützner.
L'humour, au sens large, est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité »1.
L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. L’humour peut être employé dans différents buts et peut, par exemple, se révéler pédagogique ou militant. Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte.
L'humour permet à l'Homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le remarque Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif2 en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Beaumarchais écrivit « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer »3. Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

Sommaire [masquer]
1 Étymologie
2 Registre humoristique
3 Formes
3.1 Humour noir
3.2 Humour pince-sans-rire
3.3 Humour d'observation
4 Recherches
4.1 Origine et rôle
4.2 Thérapie
4.3 Pédagogie
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Bibliographie sélective
6.2 Articles connexes
6.3 Liens externes

Étymologie

Le mot humour provient de l'anglais humour, lui-même emprunté du français « humeur »4. L'humeur, du latin humour (liquide), désignait initialement les fluides corporels (sang, bile…) pensés comme influençant sur le comportement.
Vers 1760, les Anglais utilisent le terme humour dans le sens « tempérament enjoué, gaîté, aptitude à voir ou à faire voir le comique des choses » pour se vanter de posséder un certain état d'esprit actuellement nommé humour anglais. À la même époque, le sens du mot français « humeur » suit une évolution semblable4.
Le mot « humour » est attesté pour la première fois en français au xviiie siècle, entré en France grâce aux liens qu'entretenaient les penseurs des Lumières avec les philosophes britanniques.
À la fin du xixe siècle, quand les auteurs français s'interrogeaient encore sur le sens exact de l'humour anglais, Félix Fénéon définissait ainsi celui de Mark Twain :
« L'humour est caractérisé par une énorme facétie (émergeant parfois d'une observation triste) — contée avec la plus stricte imperturbabilité, avec toutefois un dédain très marqué de l'opinion du lecteur ; ses moyens favoris sont le grossissement forcené de certaines particularités, — l'inopinée jonction de deux très distantes idées par l'opération d'un calembour ou par un jeu de perspective littéraire, — l'accumulation patiente de détails allant crescendo dans le baroque, mais déduits avec une logique rigoureuse et décevante5. »

Registre humoristique

Dans son sens strict, l’humour est une nuance du registre comique qui vise « à attirer l’attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou insolites de la réalité »4,6. Toutefois, dans le langage courant, le sens du terme s'est élargi pour désigner le comique, c'est-à-dire l'ensemble des procédés visant à susciter le rire ou le sourire7,8.
L'humour est indissociable du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est, parmi les tonalités littéraires, ce qui permet l'humour ; il en existe principalement 6 formes (situation, mots, gestes, caractère, mœurs, répétition). En sorte, l'humour utilise nécessairement une forme de comique, mais toute manifestation comique n'est pas forcément humoristique.
Auparavant, il était question de trait d'esprit dans le domaine littéraire. Le trait d'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide et pince-sans-rire, constaté chez des auteurs du siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.
Pour Paul Reboux, l'humour consiste tout simplement à « traiter à la légère les choses graves, et gravement les choses légères ».
Certaines[Lesquelles ?] formes d'humour peuvent utiliser l'ironie ou le sarcasme.
Ainsi, l'humour reste une notion floue, à la croisée d’autres concepts qui lui sont proches tels que le comique, le trait d'esprit, l’ironie ou le burlesque.

Formes

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Les apparitions les plus connues de l'humour se font dans les histoires amusantes, qualifiées de « drôles », désignées fréquemment sous le vocable de blagues. Il se manifeste cependant de manières très diverses et n'est pas toujours explicite (c'est le cas de l'ironie, de la pointe, de la remarque pince-sans-rire) ; des gestes même peuvent être comiques. Si l'humour est toujours volontaire, un individu peut être comique sans le vouloir. L'humour apparaît aussi sous forme de bande dessinée (pour adultes ou jeune public).

Humour noir

L'humour noir est une forme d'humour qui s'appuie sur des éléments tristes ou désagréables et les tourne en dérision et « rire jaune » un rire forcé et amer. De fait, l'humour n'est pas nécessairement lié à la joie.
Article détaillé : Humour noir.

Humour pince-sans-rire

L'humour pince-sans-rire est une forme particulière d'humour, caractérisée notamment par l'air sérieux de la personne qui en fait preuve, que l'on peut rapprocher de l'humour noir.
Article détaillé : Pince-sans-rire.
Humour d'observation[modifier | modifier le code]
L'humour d'observation est une forme d'humour se basant sur la caricature de situations du quotidien. C'est la forme d'humour la plus répandue dans le domaine du one-man-show, particulièrement dans le stand-up.
Article détaillé : Humour d'observation.

Recherches

L'étude de l'humour et ses effets (gélotologie) entre dans le champ disciplinaire de la psychologie, de la philosophie, de la linguistique, de la sociologie, de l'histoire, de la littérature et de la médecine.
Origine et rôle[modifier | modifier le code]
Les origines et les fonctions du rire engendré par l'humour sont difficiles à cerner mais il est reconnu depuis l'Antiquité comme ayant une fonction cathartique.
Pour certains éthologues, le rire, constaté chez certaines races de singes, est avant tout le rictus, c'est-à-dire un soulèvement des lèvres afin de montrer les dents ; il pourrait donc être une forme de violence détournée, une inclination à l'agression résumée en une grimace. Vu sous cet angle, l'humour permettrait d'évacuer cette violence, née de la frustration et de la souffrance associées à la fonction cathartique. Le lien avec une sensation de malaise peut se vérifier si la gêne est ressentie par l'auditoire et l'orateur lorsque celui-ci rate un trait d'esprit et ne parvient pas à faire sourire.
L'humour est aussi souvent un moyen pour un groupe ou une personne soumis à de fortes pressions sociales ou à de fortes contraintes de s'en échapper. Il peut également être militant.
L'humour est un art contributif au discours de la sagesse et au travail de la culture. Les rires qu'il provoque élèvent alors à la lucidité9.

Thérapie

Il est empiriquement reconnu que l'humour et son effet direct, le rire, a des effets positifs sur la santé. La science contemporaine a découvert que l'humour et le rire participaient, entre autres, à la décontraction des muscles, à la réduction des hormones de stress, à l'amélioration du système immunitaire, à la réduction de la douleur10.
L'humour est également un outil à part entière de l'hypnose ericksonienne. Il permet au thérapeute une communication à plusieurs niveaux : au-delà du sens premier perçu consciemment, une seconde possibilité, voire un champ de possibilités peut être perçu inconsciemment11, et donc envisagé. Mettant sur la voie du changement, l'humour génère ainsi du recadrage.
Pédagogie[modifier | modifier le code]
L'humour peut se révéler être un outil intéressant pour l'enseignement12. Des études ont montré que l'utilisation de l'humour, accompagné d'analogies et de métaphores, permet de mieux mémoriser l'information13,14.


je rajouterais meme que ……………………………….

Définition du rire

Quel est l'origine du rire :

Description : Le rire provient de l'hémisphère droit du cerveau (cortex cérébral), mais il se déclenche au niveau du système lymbique,de notre cerveau primitif.

Que se passe-t-il lorsqu'on rit :

Description : Le rire se propage dans tous les muscles du visage, dans le larynx, le diaphragme, la musculature abdominale et la cage thoracique. Ensuite, une profonde détente envahit tout le corps. Les muscles se relâchent, y compris les sphincters, le rythme cardiaque qui avait augmenté lors de l'éclat de rire commence à diminuer en même temps que la pression artérielle.

Quels sont les effets bénéfiques du rire :

Description : Effets physiologiques :Le rire régularise la respiration en permettant une meilleure combustion de l'oxygène et une plus grande expulsion des déchets. Il améliore le tonus musculaire, l'oxygénation cérébrale, le système cardio-vasculaire, le système digestif et le métabolisme général. De plus, le rire stimule la production des endorphines et des catécholamines qui agissent comme une morphine naturelle. Ces hormones diminuent alors la douleur. Il stimule aussi la production de cellules neurobiologiques et d'adrénaline.

Effets psychologiques :

Description : Le rire agit contre la constipation, diminue le taux de gras dans le sang (10%), prévient les maladies cardiaques, les sinusites, l'insomnie, la dépression et même le cancer. Il diminue le stress , la fatigue, la douleur, l'aérophagie, l'arthrite et l'asthme. Le rire freine même le vieillissement !!! Il paraît aussi qu'il contribue à éviter l'impuissance et la frigidité…

Saviez-vous que… :

Description : En 1940, on riait 19 minutes par jour alors que maintenant on rit en moyenne moins de 3 minutes par jour. Il existe une thérapie par le rire, la rirothérapie. On a même installé dans certains centres hospitaliers des salles où l'on présente toutes sortes de matériels humoristiques qui permettent aux malades de se détendre.

En résumé :

Description : Bref, le rire détend tout l'organisme et invite au bonheur, autrement dit, soyez le plus souvent possible sur HumourDuNet ;-)

Définition de l'humour

Les premières traces de l'humour, c'est chez Aristophane, Ve siècle avant J.-C., qu'on les retrouve. Déjà, à cette époque, les auteurs tournaient en dérisions les hommes politiques ou les personnalités d'Athènes, dont Socrate et Périclès. Ensuite, on se déplace à Rome, Sous l'empire romain, pour faire la connaissance de la commedia palliata, qui ce rapproche énormément de l'humour grec, et de la comédie latine. Cette dernière avait pour particularité que selon leur âge et leur humeur, les personnages se costumaient et portaient une perruque différente.

La suite se déroule au Moyen Age, avec les fêtes bacchanales. Ces festivités avaient pour objet de célébrer Bacchus (équivalent du Dionysos grec), dieu du vin, des jeux et de la danse. Ces fêtes se terminaient par des danses tumultueuses et lascives ainsi que des débauches bruyantes. Parallèlement à cela, toujours au Moyen Age, il y avait les entremets qui consistaient à présenter une mascarade burlesque lors de banquet pour divertir les invités entre les services. Finalement, il serait impardonnable de ne pas parler des bouffons qui, au début, n'étaient que de pauvres individus simples d'esprit et difformes, dont la seule présence faisait rire les plus puissants. Par la suite, la fonction de bouffons s'est raffinée.

A partir du XIIIe siècle, il s'agissait d'une fonction très délicate réservée au plus habile. En effet, les bouffons osaient dire tout haut au souverain ce que tout le monde disait tout bas, et ce, sans se voir condamner à mort. C'est à ce moment que l'humour a été utilisée comme moyen de contestation subtil. Par la suite vint le XVIIe siècle avec la commedia dell'arte, qui consiste à présenter un scénario fantaisiste réglé, mais où les acteurs improvisaient. C'est aussi à cette époque que sont apparu les grands auteurs comme Shakespeare, qui osait mettre des réparties plaisantes ou niaises dans la bouche des domestiques, ou Molière, dont les scénarios tournaient en dérision les grands Sieurs ainsi que les manies de ce siècle.

Le XVIIIe vit apparaître les mots d'esprits, toujours utilisés aujourd'hui. Le XIXe siècle inaugurera la presse satirique, dans les journaux d'opinion, comme moyen de contestation contre, entre autres les régimes politique. Finalement, le XXe siècle amena les blagues en série et les nouvelles technologies (radio, télévision). La télévision permit la montée de plusieurs grandes stars comme Mae West et Georges Burns ou encore le légendaire Charlie Chaplin. Dans les années trente apparurent les duos comiques, composés d'un personnage maladroit et comique accompagné d'un autre plus autoritaire. Il y a quelques décennies débutèrent les ´cartoonsª, qui firent la joie des jeunes et des moins jeunes. Plus près de nous, dans les années 80, les parodies, tant de films que de chansons, se firent sentir de façon plus marquées.

Ce qui est important de comprendre, c'est que de tout temps l'humour est un phénomène culturel. Je m'en suis bien rendu compte lorsque j'ai assisté à un concours de blagues lors d'une fête africaine. J'avais de la difficulté à comprendre en entier les gags, alors que l'auditoire autour de moi pouffait de rire. C'est entre autre à cause des subtilités de la langue, les connotations, les stimuli utilisés, les stéréotypes ethniques, les croyances et le système d'association des significations acquis.

L'humour est souvent utilisé lors de périodes d'inquiétude et de désenchantement, ou lorsqu'il y a trop de pression. Le meilleur exemple est l'autodérision. Qui ne connaît pas Mr. Bean, autodérision de l'île d'Angleterre. Ou encore "La petite Vie" et Elvis Gratton de beaux exemples de l'autodérision québécoise, parce que la culture se sent menacée. D'ailleurs, le Gala Juste pour Rire ouvre le plus grand marché de la comédie au Québec. De plus l'incertitude que les Québécois ont envers leur culture est aussi observable par le grand nombre d'humoristes et d'émissions à caractère humoristique sur le marché en ce moment. Je termine en vous disant que l'humour permet de divertir, sauver la face, faire tomber la tension, obtenir des approbations, masquer des désaccords.

Bref, l'humour est une solution miracle qui ne coûte pas cher et qui peut être efficace si bien utilisé ;-)

Petits exercices pour provoquer le rire.

Vous n'avez pas beaucoup de raisons de rire dans la vie quotidienne ? Créez-les vous-même. Ces exercices vous y aideront. Pour ces mouvements de détente, il est possible de s'entraîner seul, mais le faire à deux est préférable car le rire est communicatif. -Mettez-vous devant la glace et, comme un jeune enfant, faites des grimaces. Puis émettez des rires avec des voyelles différentes (ii, oo, uu, …emoji. Au début, cela vous semblera bizarre, mais avecun peu d'entrainement… -Regardez-vous face à face avec une autre personne et dite "cheese' (prononcez "chizz"emoji en essayant surtout de ne pas rire. -Renouez avec votre enfance et jouez à "je te tiens par la barbichette, le premier de nous deux qui rira aura une tapette…" Irrésistible! -Riez de vous-même, c'est encore la technique la plus "décapante". Si vous êtes maladroit, essayez de vous moquer de vous, cela vous donnera le sens de l'humour. -Essayez de vous rappeler d'un fou rire que vous avez eu. Sa seule évocation vous mettra de bonne humeur. -Chantez des chansons à vos enfants au lieu de les laisser devant la télévision. Inventez-leur des contes, faites des tours de magie ou mettez en scène des sketches où ils participent activement. Vous n'êtes pas obligé de faire compliqué: un nez rouge, une perruque, des faux cils… et le tour est joué. Le simple fait de mettre un nez rouge suffit à déclencher le rire aussi bien chez les enfants que chez les adultes. -Ecoutez les disques et cassettes des comiques et chansonniers quevous appréciez. -Regardez des spectacles comiques,sur la scène d'un ncafé-théâtre ou à la télévision. -Ecoutez une radio "marrante"

Le risible est partout. (Dr Henri Rubinstein)

Comme la forme physique, le sens de l'humour et la capacité à rire s'entretiennent. Explications du Dr Rubinstein, un pionnier de la gélothérapie par le rire. Quels sont les exercices de base pour rire? On peut, à partir d'une éducation respiratoire,retrouver le rythme du rire, et par un entraînement, en revivre les conditions psychiques. L'exercice type comporte une inspiration courte de deux à trois secondes, suivie d'une pause respiratoire de cinq à dix secondes. Répétée plusieurs fois, cette gymnastique déclenche inévitablement le rire. Tout le monde peut la pratiquer, seul, dans n'importe quelles conditions. Vous prônez aussi la commercialisation du gaz hilarant… Le protoxyde d'azote n'est pas une drogue, il agit sur les centres du rire et de l'humeur, en réduisant leur niveau de tension. La jubilation instantanée par inhalation de faibles doses de ce gaz est utilisée dans certains centres médicaux aux Etats-Unis. Retrouver l'humeur ludique, n'est-ce pas acquérir les principes de la pensée positive? Absolument. Cela consiste à retenir l'aspect constructif des choses (une bouteille à moitié vide est une bouteille à moitié pleine). Certaines attitudes pratiques aussi, devant la vie, contribuent à réduire les tensions. Ne pas s'imposer des obligations sociales, familiales ou professionnelles, se préparer aux changements pour s'y adapter, se ménager des situations compensatrices de détente. Hélas! on n'a pas aussi souvent l'occasion de rire dans la vie! Avoir le sens de l'humour ne signifie pas rire de tout à tout propos. C'est être capable d'apprécier le côté comique des choses en même temps que leur côté sérieux. L'humour permet de chasser les pulsions hostiles et l'accumulation des petits stress quotidiens. C'est une libération périodique de la logique, du sérieu et des responsabilités de la vie. Il n'est pas trop difficile de trouver les occasions de rire si l'on est en humeur de les apprécier. Dans la rue, en bus, en métro ou en voiture, à son travail, à la maison… c'est affaire d'appréciation personnelle et surtout d'état d'esprit. Le comique est partout pour qui sait le voir.

Merveilleux médicament aux mille vertus.

Depuis quelques années, il fait l'objet d'études scientifiques très sérieuses. Economique, sans contre-indication et à la porté de tous, le rire,outre le plaisir qu'il procure, possède des vertus thérapeutiques insoupçonnées. Le rire déclenche des mécanismes musculaires, respiratoires et influence de façon bénéfique le système hormonal. Quand nous rions, se produit une véritable onde de choc qui se transmet, de muscle en muscle, en augmentant d'intensité. Les muscles du visage se contractent, notamment le dilatateur desnarines (celui qui d'ailleur nous fait pleurer de rire) et les zygomatiques (aux commissures des lèvres et des pommettes). Un massage facial s'opère, la circulation sanguine au niveau des petits vaisseaux superficiels du visage s'accélère, la peau est lissée. Quand nous pouffons de rire, le cou libère ses tensions, le dos ses contractures. Côté coeur, les battements se font plus rapides et plus forts. Aprés s'être rétrécies, les artères se dilatent, provoquant ainsi une sensation de bien-être et de plénitude. Les poumons, en situation de surpression, rejettent des quantités d'air phénoménales à 100km/h. Cette gymnastique respiratoire profite aux anxieux ainsi ,qu'à tous les sujets atteints d'asthme et d'emphysème. Enfin, à chaque fois que nous rions à gorge déployée, l'oxygène afflue dans le sang, éliminant sur son passage les toxines prèsentes dans l'organisme (les sucres, les graisses et le mauvais cholestérol). De plus, les abdominaux, en se contractant violemment, offrent un massage excellent pour la digestion et le transit intestinal. Pour le Dr Sylvain Mimoun, psychosomaticien à Paris, une, seule minute de rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation. Et selon le Dr Henri Rubinstein, neurologue à Paris, quelques minutes de rire par chatouillements, réparties tout au long de la journée, sont l'équivalent d'au moins une heure de culture physique.

Stimulant hormonal et puissant antalgique.

En chatouillant le centre de l'hilarité situé dans le cortex, une petite zone du cerveau où se trouve aussi le siège de nos émotions, nous stimulons de nombreuses hormones, toutes plus essentielles les unes que les autres. D'abord les cathécholamines, les ormones de l'éveil, qui donnent l'alerte aux anticorps chargés de défendre l'organisme contre les virus et les microbes. En outre, ces hormones court-circuitent les processus inflammatoires, en particulier les inflammations articulaires. Ensuite, les endorphines, les hormones euphorisantes ou hormones du plaisir, du bien-être (ce sont elles qui aident à penser positif et à gérer le stress). Outre leur action anti-dépressive, elles possèdent une action antalgique (anti douleur) remarquable (ces morphines naturelles sont jusqu'à 200 fois plus puissantes que la morphine chimique. En détournant l'attention, en relâchant les muscles et en déclenchant un "orage hormonal", le rire "anesthésie" les souffrances chroniques et capricieuses. Ses effets sont particulièrement spectaculaires sur les douleurs liées à la tension musculaire.

Contre les insomnies.

Une soirée passée à rire, au spectacle ou entre amis, un film hilarant… sont les meilleurs alliés du sommeil. Cette fois, c'est une autre hormone, la sérotonine, qui entre en jeu. Cette substance apaisante contrôle l'endormissement et le sommeil lent. Elle succède tout naturellement aux hormones de l'éveil. Parce qu'il chasse les idées noires, épuise la tension, évacue le stress et la fatigue, le rire est vivement conseillé aux insomniaques, surtout aux hommes qui, passé le cap de la cinquantaine, perdent en sommeil lent, profond et récupérateur.

Contre les troubles digestifs.

Le rire a aussi un impact positif sur l'appareil digestif. Outre la gymnastique abdominale qu'il provoque, il accélère la production de sucs gastriques et d'enzymes nécessaires à la digestion. De plus, il s'avère souverain pour toutes les affections intestinales psychosomatiques. C'est le cas notament de la colopathie fonctionnelle (le sujet ne présente aucune lésion mais souffre de troubles du transit) qui touche la moitié de la population. La clé de voûte du traitement est l'approche psychologique (le moral, la bonne humeur et tout ce qui apaise et détend, comptent tout autant que les médicaments et le régime alimentaire…, remarque le Dr Tuszynski, gastro-entérologue en région parisienne.

L'intellect au mieux de sa forme.

Les endorphines ne se contentent pas d'augmenter le tonus et de diminuer la douleur: elles rendraient plus intelligent! Les travaux de la célèbre endocrinologue américaine Miriam Diamond ont montré que les personnes produisant de nombreuses endorphines, non seulement ne perdaient pas de neurones en vieillessant, mais que ceux-ci augmentaient en nombre et s'allongeaient. Bref, les personnes dotées d'un sens de l'humour développé auraient la chance d'avancer en âge en gardant une mémoire intacte et un esprit de plus en plus vif. Le rire est aussi un exutoire formidable: les médecins le recommandent à titre préventif aux biens portants, à tous ceux qui souffrent de stress. Enfin cette thérapie, accessible à tous, est un merveilleux moyen d'intégration sociale!

Vrai ou faux

Deux méthodes sont utilisées pour déclencher le rire. Vrai. Soit l'on stimule les zones dites "gélogènes" (aisselles, côtes, plantes des pieds) qui communiquent le réflexe du rire grâce à tout un réseau neurologique. Soit l'on déclenche la crise d'hilarité par des "chatouillis" psychiques en inventant ou en racontant des histoires … Les mécanismes respiratoires du rire s'apparentent à ceux du yoga. Vrai. Il entraîne une respiration plus ample, une pause respiratoire nettement plus longue qu'au repos. La durée de l'expiration peut, quant à elle, être doublée au cours du rire. Ces variations des temps respiratoires, qui rejoignent les préceptes de contrôle du souffle en yoga, multiplient par 3 ou 4 les échanges d'oxygène. Le rire est signe de bonne santé.Faux. Il devient pathologique lorsqu'il échappe au contrôle du cerveau. C'est le cas chez des patients qui présentent des lésions de certaines zones cérébrales (comme la sclérose en plaque). La maladie d'Alzheimer ou des maladies mentales comme la schizophrénie provoquent aussi des éclats de rire pathologiques. Le rire n'a aucune contre-indication. Faux. Bien que rare, des contre-indications existent. Ce sont les suites d'interventions chirurgicales (appendicites). Mais, contrairement à ce que l'on pense, le rire est tout à fait conseillé aux cardiaques. Dans un premier temps, il augmente le rythme du coeur mais cette manifestation est vite suivie d'un ralentissement et d'une baisse de la tension artérielle très bénéfiques.

je dirais aussi que...

Humour


Sourire peut impliquer un sens d'humour et une émotion d'amusement, comme le démontre le personnage de Falstaff d'Eduard von Grützner.
L'humour, au sens large, est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité »1.
L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. L’humour peut être employé dans différents buts et peut, par exemple, se révéler pédagogique ou militant. Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte.
L'humour permet à l'Homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le remarque Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif2 en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Beaumarchais écrivit « Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer »3. Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

Sommaire [masquer]
1 Étymologie
2 Registre humoristique
3 Formes
3.1 Humour noir
3.2 Humour pince-sans-rire
3.3 Humour d'observation
4 Recherches
4.1 Origine et rôle
4.2 Thérapie
4.3 Pédagogie
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Bibliographie sélective
6.2 Articles connexes
6.3 Liens externes

Étymologie

Le mot humour provient de l'anglais humour, lui-même emprunté du français « humeur »4. L'humeur, du latin humour (liquide), désignait initialement les fluides corporels (sang, bile…) pensés comme influençant sur le comportement.
Vers 1760, les Anglais utilisent le terme humour dans le sens « tempérament enjoué, gaîté, aptitude à voir ou à faire voir le comique des choses » pour se vanter de posséder un certain état d'esprit actuellement nommé humour anglais. À la même époque, le sens du mot français « humeur » suit une évolution semblable4.
Le mot « humour » est attesté pour la première fois en français au xviiie siècle, entré en France grâce aux liens qu'entretenaient les penseurs des Lumières avec les philosophes britanniques.
À la fin du xixe siècle, quand les auteurs français s'interrogeaient encore sur le sens exact de l'humour anglais, Félix Fénéon définissait ainsi celui de Mark Twain :
« L'humour est caractérisé par une énorme facétie (émergeant parfois d'une observation triste) — contée avec la plus stricte imperturbabilité, avec toutefois un dédain très marqué de l'opinion du lecteur ; ses moyens favoris sont le grossissement forcené de certaines particularités, — l'inopinée jonction de deux très distantes idées par l'opération d'un calembour ou par un jeu de perspective littéraire, — l'accumulation patiente de détails allant crescendo dans le baroque, mais déduits avec une logique rigoureuse et décevante5. »

Registre humoristique

Dans son sens strict, l’humour est une nuance du registre comique qui vise « à attirer l’attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou insolites de la réalité »4,6. Toutefois, dans le langage courant, le sens du terme s'est élargi pour désigner le comique, c'est-à-dire l'ensemble des procédés visant à susciter le rire ou le sourire7,8.
L'humour est indissociable du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est, parmi les tonalités littéraires, ce qui permet l'humour ; il en existe principalement 6 formes (situation, mots, gestes, caractère, mœurs, répétition). En sorte, l'humour utilise nécessairement une forme de comique, mais toute manifestation comique n'est pas forcément humoristique.
Auparavant, il était question de trait d'esprit dans le domaine littéraire. Le trait d'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide et pince-sans-rire, constaté chez des auteurs du siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.
Pour Paul Reboux, l'humour consiste tout simplement à « traiter à la légère les choses graves, et gravement les choses légères ».
Certaines[Lesquelles ?] formes d'humour peuvent utiliser l'ironie ou le sarcasme.
Ainsi, l'humour reste une notion floue, à la croisée d’autres concepts qui lui sont proches tels que le comique, le trait d'esprit, l’ironie ou le burlesque.

Formes

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Les apparitions les plus connues de l'humour se font dans les histoires amusantes, qualifiées de « drôles », désignées fréquemment sous le vocable de blagues. Il se manifeste cependant de manières très diverses et n'est pas toujours explicite (c'est le cas de l'ironie, de la pointe, de la remarque pince-sans-rire) ; des gestes même peuvent être comiques. Si l'humour est toujours volontaire, un individu peut être comique sans le vouloir. L'humour apparaît aussi sous forme de bande dessinée (pour adultes ou jeune public).

Humour noir

L'humour noir est une forme d'humour qui s'appuie sur des éléments tristes ou désagréables et les tourne en dérision et « rire jaune » un rire forcé et amer. De fait, l'humour n'est pas nécessairement lié à la joie.
Article détaillé : Humour noir.

Humour pince-sans-rire

L'humour pince-sans-rire est une forme particulière d'humour, caractérisée notamment par l'air sérieux de la personne qui en fait preuve, que l'on peut rapprocher de l'humour noir.
Article détaillé : Pince-sans-rire.
Humour d'observation[modifier | modifier le code]
L'humour d'observation est une forme d'humour se basant sur la caricature de situations du quotidien. C'est la forme d'humour la plus répandue dans le domaine du one-man-show, particulièrement dans le stand-up.
Article détaillé : Humour d'observation.

Recherches

L'étude de l'humour et ses effets (gélotologie) entre dans le champ disciplinaire de la psychologie, de la philosophie, de la linguistique, de la sociologie, de l'histoire, de la littérature et de la médecine.
Origine et rôle[modifier | modifier le code]
Les origines et les fonctions du rire engendré par l'humour sont difficiles à cerner mais il est reconnu depuis l'Antiquité comme ayant une fonction cathartique.
Pour certains éthologues, le rire, constaté chez certaines races de singes, est avant tout le rictus, c'est-à-dire un soulèvement des lèvres afin de montrer les dents ; il pourrait donc être une forme de violence détournée, une inclination à l'agression résumée en une grimace. Vu sous cet angle, l'humour permettrait d'évacuer cette violence, née de la frustration et de la souffrance associées à la fonction cathartique. Le lien avec une sensation de malaise peut se vérifier si la gêne est ressentie par l'auditoire et l'orateur lorsque celui-ci rate un trait d'esprit et ne parvient pas à faire sourire.
L'humour est aussi souvent un moyen pour un groupe ou une personne soumis à de fortes pressions sociales ou à de fortes contraintes de s'en échapper. Il peut également être militant.
L'humour est un art contributif au discours de la sagesse et au travail de la culture. Les rires qu'il provoque élèvent alors à la lucidité9.

Thérapie

Il est empiriquement reconnu que l'humour et son effet direct, le rire, a des effets positifs sur la santé. La science contemporaine a découvert que l'humour et le rire participaient, entre autres, à la décontraction des muscles, à la réduction des hormones de stress, à l'amélioration du système immunitaire, à la réduction de la douleur10.
L'humour est également un outil à part entière de l'hypnose ericksonienne. Il permet au thérapeute une communication à plusieurs niveaux : au-delà du sens premier perçu consciemment, une seconde possibilité, voire un champ de possibilités peut être perçu inconsciemment11, et donc envisagé. Mettant sur la voie du changement, l'humour génère ainsi du recadrage.
Pédagogie[modifier | modifier le code]
L'humour peut se révéler être un outil intéressant pour l'enseignement12. Des études ont montré que l'utilisation de l'humour, accompagné d'analogies et de métaphores, permet de mieux mémoriser l'information13,14.


je rajouterais meme que ……………………………….

Définition du rire

Quel est l'origine du rire :

Description : Le rire provient de l'hémisphère droit du cerveau (cortex cérébral), mais il se déclenche au niveau du système lymbique,de notre cerveau primitif.

Que se passe-t-il lorsqu'on rit :

Description : Le rire se propage dans tous les muscles du visage, dans le larynx, le diaphragme, la musculature abdominale et la cage thoracique. Ensuite, une profonde détente envahit tout le corps. Les muscles se relâchent, y compris les sphincters, le rythme cardiaque qui avait augmenté lors de l'éclat de rire commence à diminuer en même temps que la pression artérielle.

Quels sont les effets bénéfiques du rire :

Description : Effets physiologiques :Le rire régularise la respiration en permettant une meilleure combustion de l'oxygène et une plus grande expulsion des déchets. Il améliore le tonus musculaire, l'oxygénation cérébrale, le système cardio-vasculaire, le système digestif et le métabolisme général. De plus, le rire stimule la production des endorphines et des catécholamines qui agissent comme une morphine naturelle. Ces hormones diminuent alors la douleur. Il stimule aussi la production de cellules neurobiologiques et d'adrénaline.

Effets psychologiques :

Description : Le rire agit contre la constipation, diminue le taux de gras dans le sang (10%), prévient les maladies cardiaques, les sinusites, l'insomnie, la dépression et même le cancer. Il diminue le stress , la fatigue, la douleur, l'aérophagie, l'arthrite et l'asthme. Le rire freine même le vieillissement !!! Il paraît aussi qu'il contribue à éviter l'impuissance et la frigidité…

Saviez-vous que… :

Description : En 1940, on riait 19 minutes par jour alors que maintenant on rit en moyenne moins de 3 minutes par jour. Il existe une thérapie par le rire, la rirothérapie. On a même installé dans certains centres hospitaliers des salles où l'on présente toutes sortes de matériels humoristiques qui permettent aux malades de se détendre.

En résumé :

Description : Bref, le rire détend tout l'organisme et invite au bonheur, autrement dit, soyez le plus souvent possible sur HumourDuNet ;-)

Définition de l'humour

Les premières traces de l'humour, c'est chez Aristophane, Ve siècle avant J.-C., qu'on les retrouve. Déjà, à cette époque, les auteurs tournaient en dérisions les hommes politiques ou les personnalités d'Athènes, dont Socrate et Périclès. Ensuite, on se déplace à Rome, Sous l'empire romain, pour faire la connaissance de la commedia palliata, qui ce rapproche énormément de l'humour grec, et de la comédie latine. Cette dernière avait pour particularité que selon leur âge et leur humeur, les personnages se costumaient et portaient une perruque différente.

La suite se déroule au Moyen Age, avec les fêtes bacchanales. Ces festivités avaient pour objet de célébrer Bacchus (équivalent du Dionysos grec), dieu du vin, des jeux et de la danse. Ces fêtes se terminaient par des danses tumultueuses et lascives ainsi que des débauches bruyantes. Parallèlement à cela, toujours au Moyen Age, il y avait les entremets qui consistaient à présenter une mascarade burlesque lors de banquet pour divertir les invités entre les services. Finalement, il serait impardonnable de ne pas parler des bouffons qui, au début, n'étaient que de pauvres individus simples d'esprit et difformes, dont la seule présence faisait rire les plus puissants. Par la suite, la fonction de bouffons s'est raffinée.

A partir du XIIIe siècle, il s'agissait d'une fonction très délicate réservée au plus habile. En effet, les bouffons osaient dire tout haut au souverain ce que tout le monde disait tout bas, et ce, sans se voir condamner à mort. C'est à ce moment que l'humour a été utilisée comme moyen de contestation subtil. Par la suite vint le XVIIe siècle avec la commedia dell'arte, qui consiste à présenter un scénario fantaisiste réglé, mais où les acteurs improvisaient. C'est aussi à cette époque que sont apparu les grands auteurs comme Shakespeare, qui osait mettre des réparties plaisantes ou niaises dans la bouche des domestiques, ou Molière, dont les scénarios tournaient en dérision les grands Sieurs ainsi que les manies de ce siècle.

Le XVIIIe vit apparaître les mots d'esprits, toujours utilisés aujourd'hui. Le XIXe siècle inaugurera la presse satirique, dans les journaux d'opinion, comme moyen de contestation contre, entre autres les régimes politique. Finalement, le XXe siècle amena les blagues en série et les nouvelles technologies (radio, télévision). La télévision permit la montée de plusieurs grandes stars comme Mae West et Georges Burns ou encore le légendaire Charlie Chaplin. Dans les années trente apparurent les duos comiques, composés d'un personnage maladroit et comique accompagné d'un autre plus autoritaire. Il y a quelques décennies débutèrent les ´cartoonsª, qui firent la joie des jeunes et des moins jeunes. Plus près de nous, dans les années 80, les parodies, tant de films que de chansons, se firent sentir de façon plus marquées.

Ce qui est important de comprendre, c'est que de tout temps l'humour est un phénomène culturel. Je m'en suis bien rendu compte lorsque j'ai assisté à un concours de blagues lors d'une fête africaine. J'avais de la difficulté à comprendre en entier les gags, alors que l'auditoire autour de moi pouffait de rire. C'est entre autre à cause des subtilités de la langue, les connotations, les stimuli utilisés, les stéréotypes ethniques, les croyances et le système d'association des significations acquis.

L'humour est souvent utilisé lors de périodes d'inquiétude et de désenchantement, ou lorsqu'il y a trop de pression. Le meilleur exemple est l'autodérision. Qui ne connaît pas Mr. Bean, autodérision de l'île d'Angleterre. Ou encore "La petite Vie" et Elvis Gratton de beaux exemples de l'autodérision québécoise, parce que la culture se sent menacée. D'ailleurs, le Gala Juste pour Rire ouvre le plus grand marché de la comédie au Québec. De plus l'incertitude que les Québécois ont envers leur culture est aussi observable par le grand nombre d'humoristes et d'émissions à caractère humoristique sur le marché en ce moment. Je termine en vous disant que l'humour permet de divertir, sauver la face, faire tomber la tension, obtenir des approbations, masquer des désaccords.

Bref, l'humour est une solution miracle qui ne coûte pas cher et qui peut être efficace si bien utilisé ;-)

Petits exercices pour provoquer le rire.

Vous n'avez pas beaucoup de raisons de rire dans la vie quotidienne ? Créez-les vous-même. Ces exercices vous y aideront. Pour ces mouvements de détente, il est possible de s'entraîner seul, mais le faire à deux est préférable car le rire est communicatif. -Mettez-vous devant la glace et, comme un jeune enfant, faites des grimaces. Puis émettez des rires avec des voyelles différentes (ii, oo, uu, …emoji. Au début, cela vous semblera bizarre, mais avecun peu d'entrainement… -Regardez-vous face à face avec une autre personne et dite "cheese' (prononcez "chizz"emoji en essayant surtout de ne pas rire. -Renouez avec votre enfance et jouez à "je te tiens par la barbichette, le premier de nous deux qui rira aura une tapette…" Irrésistible! -Riez de vous-même, c'est encore la technique la plus "décapante". Si vous êtes maladroit, essayez de vous moquer de vous, cela vous donnera le sens de l'humour. -Essayez de vous rappeler d'un fou rire que vous avez eu. Sa seule évocation vous mettra de bonne humeur. -Chantez des chansons à vos enfants au lieu de les laisser devant la télévision. Inventez-leur des contes, faites des tours de magie ou mettez en scène des sketches où ils participent activement. Vous n'êtes pas obligé de faire compliqué: un nez rouge, une perruque, des faux cils… et le tour est joué. Le simple fait de mettre un nez rouge suffit à déclencher le rire aussi bien chez les enfants que chez les adultes. -Ecoutez les disques et cassettes des comiques et chansonniers quevous appréciez. -Regardez des spectacles comiques,sur la scène d'un ncafé-théâtre ou à la télévision. -Ecoutez une radio "marrante"

Le risible est partout. (Dr Henri Rubinstein)

Comme la forme physique, le sens de l'humour et la capacité à rire s'entretiennent. Explications du Dr Rubinstein, un pionnier de la gélothérapie par le rire. Quels sont les exercices de base pour rire? On peut, à partir d'une éducation respiratoire,retrouver le rythme du rire, et par un entraînement, en revivre les conditions psychiques. L'exercice type comporte une inspiration courte de deux à trois secondes, suivie d'une pause respiratoire de cinq à dix secondes. Répétée plusieurs fois, cette gymnastique déclenche inévitablement le rire. Tout le monde peut la pratiquer, seul, dans n'importe quelles conditions. Vous prônez aussi la commercialisation du gaz hilarant… Le protoxyde d'azote n'est pas une drogue, il agit sur les centres du rire et de l'humeur, en réduisant leur niveau de tension. La jubilation instantanée par inhalation de faibles doses de ce gaz est utilisée dans certains centres médicaux aux Etats-Unis. Retrouver l'humeur ludique, n'est-ce pas acquérir les principes de la pensée positive? Absolument. Cela consiste à retenir l'aspect constructif des choses (une bouteille à moitié vide est une bouteille à moitié pleine). Certaines attitudes pratiques aussi, devant la vie, contribuent à réduire les tensions. Ne pas s'imposer des obligations sociales, familiales ou professionnelles, se préparer aux changements pour s'y adapter, se ménager des situations compensatrices de détente. Hélas! on n'a pas aussi souvent l'occasion de rire dans la vie! Avoir le sens de l'humour ne signifie pas rire de tout à tout propos. C'est être capable d'apprécier le côté comique des choses en même temps que leur côté sérieux. L'humour permet de chasser les pulsions hostiles et l'accumulation des petits stress quotidiens. C'est une libération périodique de la logique, du sérieu et des responsabilités de la vie. Il n'est pas trop difficile de trouver les occasions de rire si l'on est en humeur de les apprécier. Dans la rue, en bus, en métro ou en voiture, à son travail, à la maison… c'est affaire d'appréciation personnelle et surtout d'état d'esprit. Le comique est partout pour qui sait le voir.

Merveilleux médicament aux mille vertus.

Depuis quelques années, il fait l'objet d'études scientifiques très sérieuses. Economique, sans contre-indication et à la porté de tous, le rire,outre le plaisir qu'il procure, possède des vertus thérapeutiques insoupçonnées. Le rire déclenche des mécanismes musculaires, respiratoires et influence de façon bénéfique le système hormonal. Quand nous rions, se produit une véritable onde de choc qui se transmet, de muscle en muscle, en augmentant d'intensité. Les muscles du visage se contractent, notamment le dilatateur desnarines (celui qui d'ailleur nous fait pleurer de rire) et les zygomatiques (aux commissures des lèvres et des pommettes). Un massage facial s'opère, la circulation sanguine au niveau des petits vaisseaux superficiels du visage s'accélère, la peau est lissée. Quand nous pouffons de rire, le cou libère ses tensions, le dos ses contractures. Côté coeur, les battements se font plus rapides et plus forts. Aprés s'être rétrécies, les artères se dilatent, provoquant ainsi une sensation de bien-être et de plénitude. Les poumons, en situation de surpression, rejettent des quantités d'air phénoménales à 100km/h. Cette gymnastique respiratoire profite aux anxieux ainsi ,qu'à tous les sujets atteints d'asthme et d'emphysème. Enfin, à chaque fois que nous rions à gorge déployée, l'oxygène afflue dans le sang, éliminant sur son passage les toxines prèsentes dans l'organisme (les sucres, les graisses et le mauvais cholestérol). De plus, les abdominaux, en se contractant violemment, offrent un massage excellent pour la digestion et le transit intestinal. Pour le Dr Sylvain Mimoun, psychosomaticien à Paris, une, seule minute de rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation. Et selon le Dr Henri Rubinstein, neurologue à Paris, quelques minutes de rire par chatouillements, réparties tout au long de la journée, sont l'équivalent d'au moins une heure de culture physique.

Stimulant hormonal et puissant antalgique.

En chatouillant le centre de l'hilarité situé dans le cortex, une petite zone du cerveau où se trouve aussi le siège de nos émotions, nous stimulons de nombreuses hormones, toutes plus essentielles les unes que les autres. D'abord les cathécholamines, les ormones de l'éveil, qui donnent l'alerte aux anticorps chargés de défendre l'organisme contre les virus et les microbes. En outre, ces hormones court-circuitent les processus inflammatoires, en particulier les inflammations articulaires. Ensuite, les endorphines, les hormones euphorisantes ou hormones du plaisir, du bien-être (ce sont elles qui aident à penser positif et à gérer le stress). Outre leur action anti-dépressive, elles possèdent une action antalgique (anti douleur) remarquable (ces morphines naturelles sont jusqu'à 200 fois plus puissantes que la morphine chimique. En détournant l'attention, en relâchant les muscles et en déclenchant un "orage hormonal", le rire "anesthésie" les souffrances chroniques et capricieuses. Ses effets sont particulièrement spectaculaires sur les douleurs liées à la tension musculaire.

Contre les insomnies.

Une soirée passée à rire, au spectacle ou entre amis, un film hilarant… sont les meilleurs alliés du sommeil. Cette fois, c'est une autre hormone, la sérotonine, qui entre en jeu. Cette substance apaisante contrôle l'endormissement et le sommeil lent. Elle succède tout naturellement aux hormones de l'éveil. Parce qu'il chasse les idées noires, épuise la tension, évacue le stress et la fatigue, le rire est vivement conseillé aux insomniaques, surtout aux hommes qui, passé le cap de la cinquantaine, perdent en sommeil lent, profond et récupérateur.

Contre les troubles digestifs.

Le rire a aussi un impact positif sur l'appareil digestif. Outre la gymnastique abdominale qu'il provoque, il accélère la production de sucs gastriques et d'enzymes nécessaires à la digestion. De plus, il s'avère souverain pour toutes les affections intestinales psychosomatiques. C'est le cas notament de la colopathie fonctionnelle (le sujet ne présente aucune lésion mais souffre de troubles du transit) qui touche la moitié de la population. La clé de voûte du traitement est l'approche psychologique (le moral, la bonne humeur et tout ce qui apaise et détend, comptent tout autant que les médicaments et le régime alimentaire…, remarque le Dr Tuszynski, gastro-entérologue en région parisienne.

L'intellect au mieux de sa forme.

Les endorphines ne se contentent pas d'augmenter le tonus et de diminuer la douleur: elles rendraient plus intelligent! Les travaux de la célèbre endocrinologue américaine Miriam Diamond ont montré que les personnes produisant de nombreuses endorphines, non seulement ne perdaient pas de neurones en vieillessant, mais que ceux-ci augmentaient en nombre et s'allongeaient. Bref, les personnes dotées d'un sens de l'humour développé auraient la chance d'avancer en âge en gardant une mémoire intacte et un esprit de plus en plus vif. Le rire est aussi un exutoire formidable: les médecins le recommandent à titre préventif aux biens portants, à tous ceux qui souffrent de stress. Enfin cette thérapie, accessible à tous, est un merveilleux moyen d'intégration sociale!

Vrai ou faux

Deux méthodes sont utilisées pour déclencher le rire. Vrai. Soit l'on stimule les zones dites "gélogènes" (aisselles, côtes, plantes des pieds) qui communiquent le réflexe du rire grâce à tout un réseau neurologique. Soit l'on déclenche la crise d'hilarité par des "chatouillis" psychiques en inventant ou en racontant des histoires … Les mécanismes respiratoires du rire s'apparentent à ceux du yoga. Vrai. Il entraîne une respiration plus ample, une pause respiratoire nettement plus longue qu'au repos. La durée de l'expiration peut, quant à elle, être doublée au cours du rire. Ces variations des temps respiratoires, qui rejoignent les préceptes de contrôle du souffle en yoga, multiplient par 3 ou 4 les échanges d'oxygène. Le rire est signe de bonne santé.Faux. Il devient pathologique lorsqu'il échappe au contrôle du cerveau. C'est le cas chez des patients qui présentent des lésions de certaines zones cérébrales (comme la sclérose en plaque). La maladie d'Alzheimer ou des maladies mentales comme la schizophrénie provoquent aussi des éclats de rire pathologiques. Le rire n'a aucune contre-indication. Faux. Bien que rare, des contre-indications existent. Ce sont les suites d'interventions chirurgicales (appendicites). Mais, contrairement à ce que l'on pense, le rire est tout à fait conseillé aux cardiaques. Dans un premier temps, il augmente le rythme du coeur mais cette manifestation est vite suivie d'un ralentissement et d'une baisse de la tension artérielle très bénéfiques.

je dirais aussi que...


je dois prendre sa avec humour emoji

Membre supprimé

je voulais dire que antoine daniel s'adresse a moi avant que je ne commence ^^

Ambiance de naze. o_o

Membre supprimé

Vous faites fort ce soir avec les gros pavé inutile O_o

Membre supprimé
Ambiance de naze. o_o

ouais j'avoue...

J'en suis sur vous préférez une discussion sur l'humour qu'une discussion sur ça emoji

User image

Sérieux ca craint, je sais pas pourquoi mais depuis quelques temps je commences à avoir les nerfs

Vous faites fort ce soir avec les gros pavé inutile O_o


Surtout ceux qui citent lesdits pavés. emoji

@Ratchetteraflux : ça se ressent que tu as les nerfs, le mieux à faire est de ne pas répercuter cela sur le forum au pire parle en avec quelqu'un en privé ou d'essayer de te détendre (lire, méditer, fumer un joint, etc…emoji.

Membre supprimé

Vous faites fort ce soir avec les gros pavé inutile O_o


Surtout ceux qui citent lesdits pavés. emoji

@Ratchetteraflux : ça se ressent que tu as les nerfs, le mieux à faire est de ne pas répercuter cela sur le forum au pire parle en avec quelqu'un en privé ou d'essayer de te détendre (lire, méditer, fumer un joint, etc…emoji.

Faut prendre sa aux 2 ème degrés emoji

Je sais, mais bon quand il y en a un qui mets un pavé d'une telle ampleur, pourquoi il y en as qui le citent ?
Au pire mettez ''@machin'' en guise de réponse. emoji

J'en suis sur vous préférez une discussion sur l'humour qu'une discussion sur ça emoji

User image


sa depend qui emoji

J'en suis sur vous préférez une discussion sur l'humour qu'une discussion sur ça emoji

User image


Ho yea!! emojiemojiemoji

A chaque fois que tu poste y'a au moin 80% de chance que sa sois du poney =3

Non je ne te vise pas, si j'ai quelque chose à dire à quelqu'un en particulier je lui dis directement ou je m'abstiens. Si je généralise c'est pour parler d'un ressenti.


Ne t'en fais ce n'est pas grave. De plus cela m'étonnais que l'on m'adresse un message aussi peu sympathique alors que j'avais dit à la base quelque chose de vraiment gentil emoji.
Il faut juste savoir que je n'aime pas la "moquerie" aussi "sympathique" soit-elle ^^.

@Xx-Energetik-Ratchet-xX

N'aurai-tu pas fais un copier/coller wikipédia ? emoji
(ce site me sauve pour mes exposés ^^)

Je fais attention car je sais que la plupart prennent mes messages durement, mais je n'agresse personne. J'aime les gens.