CHAPITRE III : L’ENTRAINEMENT
Mercredi 17h00
La ruelle était humide, sombre et il faisait un peu froid. Le camion s’arrêta devant moi.
-Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?
Un homme sorti du camion. Il était grand, un peu musclé, plutôt maigre, les cheveux blonds cours avec des lunettes de formes rectangulaires et la peau beige.
-J’ai connus ton père tu sais ? Et j’étais là quand il est mort. Nous habitons dans l’immeuble d’en face de chez toi. Si tu viens avec moi, je t’aiderais et je t’expliquerais comment j’ai connus ton père.
-Qu’est ce qui me prouve ce que vous dites ? L’homme me donna sa carte d’identité.
-Shaun Hastings? Ok je veux bien vous croire. Mais je garde votre carte d’identité au cas où. On ne sait jamais.
-On va t’entrainer dans l’art de l’assassinat. Le seul problème, c’est qu’on va devoir te prendre tout tes week-ends si tu veux t’entrainer.
-Pas besoin. J’ai tout mon temps.
-Quoi ? Et tes études, tu y pense ?
-J’ai fuis mon collège. -Ha… ouais. Et pourquoi ça ?
-Parce que l’assassin de mon père est là-bas. Il m’a dis que si je ne fuyais pas il allait tuer toute ma famille. Et je ne veux pas que ça arrive. Alors j’ai fuis.
-Ok. Monte dans le camion. Je montai dans le camion ou plutôt dans une camionnette.
-Ce ne sera pas long.
-Hey salut. Qui êtes vous si je puis me permettre?
-Rebecca Crane.
Elle avait les cheveux mi-longs noirs, les yeux bleus, la peau beige et elle était grande. Nous arrivâmes en face d’une maison assez grande. A l’entrer, il y avait deux piliers. Nous rentrâmes dans la maison. Devant moi se trouvait un grand salon avec deux canapés en cuir positionnés en angle droit, un écran plasma, et une table juste derrière les canapés. A droite se trouvait une cuisine équipée. Il y avait un four, un four micro-ondes et un lave-vaisselle. Elle avait la forme d’un angle droit. Derrière le salon il y avait un escalier qui montait. Là-haut, Il y avait deux portes en face l’une de l’autre. C’était des chambres avec une télé plasma accrochée au mur.
-Nous t’avons préparé une chambre. On commence demain.
-Ok. Juste un dernier petit détail.
-oui ?
-Ma mère.
-Quoi ?
-Ben, qu’est ce que je lui dis ?
-Bah…tu n’a qu’a lui dire que tu va te faire enlever pour la sécurité de la famille, et que tu ne reviendras peut-être jamais.
Rebecca l’interrompu avec un ton plutôt gêner.
-Shaun !!!
-Ben quoi ? On ne peut même plus plaisanter !
-Je lui dirais que je pars chez un pote pendant quelque temps pour la sécurité de la famille.
-Tu lui dis ce que tu veux parce qu’on à pas trop le temps de discuter. Il faut ce mettre au boulot.
-Ok Rebecca. D’abord je veux savoir la vérité. Comment vous avez connus mon père ?
-On l’a connu quand il avait ton âge il y a 20 ans. Maintenant on en à 40. On l’a entrainé pour qu’il devienne un assassin.
-Ha ouais ?! Et pour quoi faire ?
-Il existe encore des templiers dans le monde. Et les assassins sont les ennemis des templiers. Ton père à été tué par un templier.
-Attends… tu veux dire qu’il y a un templier en ce moment dans mon collège ?
-Heu…oui. -Il risque de tuer d’autres personnes si on ne réagis pas.
-Du calme. On va t’entrainer. Ca passera vite si on s’y met maintenant. Mais je te préviens, cet entrainement n’est pas pour les lopettes. Alors, tu peux le faire ?
-ouais…je vais essayer.
-Parfait ! On commence demain.
Jeudi 8h00
-Debout là-dedans. Il fait beau, il fait chaud, c’est une belle journée qui s’annonce.
-…Oui. Surement pour toi.
-Tu as faim ? Si tu as faim, il y a à manger dans le placard de la cuisine. Tu peux te servir mais ne mange pas tout sinon tu vas grossir !
-Très drôle Shaun.
Je descendis pour aller dans la cuisine. J’ouvris le placard pour préparer mon petit déjeuner.
-Tiens ! Des céréales Nesquik au chocolat. Mes préférés !
Je me fis un bol avec du lait. A la fin de mon repas, je n’avais plus faim car j’avais pris quatre bols remplis à ras bord de céréales. Oui…je sais, je suis un peu gourmand. Quand j’eus fini, je lavai mon bol et rejoignit Shaun et Rebecca.
-Tu as fini de manger ?
-ouais.
-Ok. Viens on va te montrer quelque chose.
-D’accord.
Rebecca et Shaun m’emmenèrent en face d’un mur.
-On est arrivé.
-D’accord. C’est un mur. Tu m’explique ?
Shaun bascula le chandelier qui était à coté de lui et le mur en face de moi s’ouvrit. On y voyait des escaliers et en bas des lumières.
-A toi l’honneur Mickaël.
-Merci.
Je descendis les escaliers. C’était une grande salle avec plein d’accessoires d’entrainement. En face de moi il y avait un mur avec deux tenues. L’une était blanche, les rayures des manches étaient en spirales. C’était une tenue pour femme. La tenue pour homme était pareille sauf plus large et en noir et l’intérieur de la capuche était rouge. Sur la capuche des deux tenues, il y avait un signe étrange que je n’avais jamais vu. Il était comme ceci de couleur rouge :
-Quel est ce signe ?
-C’est le signe des assassins. Ce signe est sur les capuches de toutes les tenues. Il permet de nous reconnaitre entre assassins.
-Je vois.
J’entendis du bruit. Ce bruit venait d’une porte au fond du sous-sol.
-Il y a du bruit derrière cette porte.
-Ne t’inquiète pas. C’est normal.
-Qui a t-il derrière ?
-Tu le sauras que si tu arrive ton entrainement.
- Tu ne veux pas me le dire ?
-N’insiste pas !
-Ok ! Ok !
-Je vais t’expliquer le but de cet entrainement.
-Ok.
-Durant cet entrainement, tu apprendras l’observation, la vitesse et la discrétion.
-La vitesse je la métrise.
-Un apprentissage en moins à apprendre. Pour commencer, tu va t’entrainer à l’observation. Quand tu te trouve face à l’ennemi, tu dois observer autour de toi sans que celui-ci s’en rende compte pour essayer de trouver comment le tromper. Tu comprends ?
- Heu…Je ne te suis pas trop là.
-Tu dois utiliser des éléments du décor à l’endroit où tu te trouve pour essayer de l’avoir. Deuxième chose, la discrétion. Tu dois être silencieux tout en étant discret. L’ennemi ne doit pas te voir ni t’entendre. Tu dois te fondre dans le décor. Et troisième chose, la vitesse. Tu dois être rapide de sorte que l’ennemi te perde de vu. Tu pourras alors le prendre par surprise. Si tu métrise ces trois techniques, tu passeras au rang « Assassino ».
-Je crois que j’ai compris.
-Alors vas-y !
-De quoi ?
-Attaque en utilisant les différentes techniques que je t’ai expliqué.
-Bon… D’accord.
J’appliquai les techniques que l’on m’avais apprises.
-D’abord, l’observation.
J’observai tout autour de moi afin de trouver un élément du décor pour l’utiliser. Je vis un grand tableau roulant juste à coté de moi. Je le pris et le fis rouler devant moi. Shaun dit avec un ton étonnant :
-Ou est t-il passer ?
J’avais disparus comme un éclair et j’apparus juste derrière Shaun.
-Il est derrière moi.
Shaun se retourna pour me donner un de poing mais je l’évitai.
-Bien ! J’ai la confirmation que tu métrise bien la vitesse, l’observation et les éléments du décor. Reste la discrétion. J’ai entendu ton pas derrière moi. Tu ne maitrise pas totalement la discrétion. Il va falloir travailler sur ce domaine. En fait, j’ai une question. Puis-je te la poser ?
-Tu viens d’en poser une.
-Très drôle. Tu commence à t’améliorer.
Rebecca intervint
-Eh vous deux. Ce n’est pas le moment de vous raconter des blagues ! Je vous rappelle qu’on a du boulot !
-Si on peut même plus s’amuser.
-Quand as-tu appris à maitriser la vitesse.
-J’ai découvert que j’avais cette vitesse à six ans. A mon avis je l’ai depuis que je suis né.
-C’est naturel quoi.
-Ce don me sert beaucoup dans la vie de tous les jours.
-M’en parle pas.
-Je ne suis plus en retard en cours. Enfin je n’étais. Maintenant je n’y suis plus.
-Enfin bref. C’est pas que je m’ennuis à discuter avec toi mais on doit continuer l’entrainement.
-Ok.
-Il faut travailler plus sur la discrétion.
-La discrétion. Ok.
Jeudi 18h00
-Bon c’est pas tout mais il est quand même déjà 18 heures. Je vous laisse les garçons. Je vais faire à manger.
-Tiens voilà l’occasion. Pendant que Rebecca sera dans la cuisine en train de faire à manger, tu lui voleras son portable qui est dans…
-Sa poche droite de son pantalon.
-Bien le sens de l’observation.
-Quand je t’ai parlé de ma vitesse, j’ai vu Rebecca mettre son portable dans sa poche droite de son pantalon.
-Je n’avais même pas remarqué que tu l’avais observé. Il y a des progrès.
-Merci. Bon c’est parti.
Je remontai pour aller dans la cuisine.
-Vous avez fini ?
-Non mais j’avais soif alors je suis venu chercher un verre d’eau.
Pendant que je discutais un peu avec Rebecca, je faufilai ma main dans sa poche en toute discrétion et lui piqua son portable puis le mit dans ma poche arrière gauche.
-Bon, je ne vais pas trop tarder sinon Shaun va perdre patience. Aller, à tout à l’heure.
-A tout à l’heure.
Je parti de la cuisine sans que Rebecca se rende compte de quelque chose et redescendis pour donner le portable à Shaun.
-Tu as réussi. Bravo.
D’un coup on entendit une voix énervée :
-Mon portable !!! Qui me l’a volé ?
Je donnai vite le portable à Shaun.
-C’est pas moi !
-C’est lui !
- Rendez-le-moi !
-Tiens.
Rebecca souffla et se déstressa.
-Merci.
Elle remonta dans la cuisine pour continuer le repas.
-Je ne touche plus à son portable.
- Vaux mieux pas.
-Plus jamais.
Deux mois plus tard je sus maitriser la discrétion en réussissant à voler le portable de Rebecca et à le remettre à sa place sans qu’elle le remarque et à voler des choses dans un magasin tout en les remettant à sa place bien sur. Je maitrisais aussi les techniques de combat des assassins avec des lames secrètes. Les lames secrètes sont de petites lames qu’on insère dans un bracelet et quand on pivote la main en arrière (un peu comme Spiderman mais sans le signe) une lame sort. Pour la ranger il suffit de faire la même chose sauf en avant. Je maitrisais Toutes les techniques à présent.
- Bon bas je crois que ton entrainement est terminé.
-Enfin ! Deux longs mois d’entrainement. J’ai cru que ça ne finirai jamais.
-Cependant il reste un truc que tu maitrise déjà mais tu ne le sais pas.
-C’est quoi ?
-La vision d’aigle.
-La vision d’aigle ? C’est quoi ?
-C’est une vision dont tu peux te servir pour localiser tes cibles ou bien décoder les codes des portes. Il y a différentes couleurs.
-Si la personne que tu observe est rouge, c’est un templier. Si elle est bleue, c’est un simple habitant qui n’a rien à voir dans l’histoire. En revanche, si la personne est jaune, cela veut dire que c’est ta cible principale. Si les objets comme les bancs ou les tas de feuilles sont en vert, cela veut dire que tu peux t’y cacher. Viens avec moi je vais te donner quelque chose.
Shaun m’emmena à coté d’un coffre à code.
-Essaie de déchiffrer le code du coffre. Si tu réussi, le contenu de celui-ci t’appartiendra.
Je me concentrai sur le code.
-J’y arrive pas.
-Essai encore.
J’essayai encore et d’un coup je vis tout bleu. Les chiffres du coffre étaient en jaune. Je tournai les chiffres et je vis des chiffres en surbrillance. Le coffre s’ouvrit.
-Houa ! Je ne savais pas que je pouvais faire ça.
-Grace à la vision d’aigle, tu pourras localiser plus facilement tes cibles, ou tu déchiffreras plus facilement les codes.
-C’est génial ! A l’intérieur du coffre il y avait une tenue avec deux brassards.
–C’est pour toi. C’est une récompense pour avoir terminer l’entrainement. Tu as déjà les lames secrètes. Essaye-la !
Je mis ma tenue. Elle était noire et l’intérieur de la capuche était rouge. Sur la capuche il y avait le signe des assassins. Tout le long des manches il y avait des traits en forme de spirales. Il y avait aussi un plastron en fer, sur le plastron il y avait un aigle, des épaulières en fer en forme d’aigles et une ceinture. La ceinture avait la forme du signe des assassins. Sur les cotés du signe de la ceinture, étaient rangé de petits couteaux. Derrière la ceinture, deux pistolets à mèches.
-Sympa la tenue !
-C’est une ancienne tenue que nous avons retrouvé à Rome.
-En plus d’entrainer des assassins, vous êtes archéologue ?
-On peut dire ça. Archéologue est notre métier. Les pistolets marchent encore ! Nous avons acheté les cartouches chez un collectionneur.
-Votre métier ?
-Ben oui. Comment tu crois qu’on paie le loyer. Et la nourriture ?
-Ben…En travaillant dans l’archéologie !
-Tu me prends vraiment pour un con.
-Mais non ! C’est vrai ce que je dis.
-Bref. Parlons d’autre chose. Maintenant que tu as la tenue et la vision d’aigle, tu peux aller voir ce qu’il y a derrière cette porte.
Nous allons jusqu’à cette porte étrange ou il y à des bruits étranges.
-Il y a un code.
-Sert-toi de ta vision d’aigle.
J’enclenchai ma vision d’aigle et vis des empruntes sur différents numéros. J’essayai plusieurs combinaisons. Au bout de la troisième tentative je réussi à faire le code : 9-5-3-4-7-6-2
-J’ai réussi !
La porte s’ouvrit et je vis des centaines de personnes habillé en tenues d’assassins. La pièce était immense ! On pouvait encore rentrer au moins une cinquantaine d’autres personnes.
-Toutes les personnes que tu vois sont des assassins. Certains sont envoyés en mission pour tuer des templiers. Il va falloir faire tes preuves maintenant. Tu vas devoir aller tuer le templier qui a tué ton père. Tu sais où il se trouve, tu n’as plus qu’à t’y rendre et le tuer.
-Ok. Je suis prêt.
Shaun m’emmena à mon collège en camion.
-Voilà. On y est. Pas trop le traque ?
-Non. Bon j’y vais.
-Soit prudent. Et utilise bien les techniques que je t’ai apprises. Je t’attendrais ici.
-Pas de problème.
Je descendis du camion pour me rendre à l’intérieur de mon collège. J’escaladai le mur pour aller sur le toit. Je localisai ma cible grâce à la vision d’aigle.
-Voila ma cible. Elle est en jaune. Mais je détecte aussi des ennemis en rouge tout autour du collège. Je dois être prudent.
Je vis en vert un tas de feuille.
-Si je me souviens bien, les objets en vert sont des cachettes. C’est parti pour le saut de l’ange.
Je sautai du toit la tête la première puis en plein vol me retourna sur le dos et atterris dans le tas de feuilles. Je sortis du tas de feuille et courus en direction de ma cible qui était juste à quelques mètres de moi en sortant les lames secrètes. La cible se retourna et fis un geste de la main en l’air. Plusieurs templiers sont apparus et m’ont arrêté.
-Tu croyais peut-être que je ne m’y attendais pas ?
Il s’était préparé à me revoir. Les templiers m’ont mis à genou les mains derrière le dos. Les élèves étaient sans voix. Les surveillants sont venus voir ce qu’il se passait dans la cour.
-Eh ! Qui êtes-vous ?
-Arrêtez-le !
-Non !!! Les templiers emmenèrent le surveillant.
-Hahahahaha ! Tu es fichu. Enlevez-lui sa capuche !
Les templiers m’enlevèrent ma capuche.
-Mickael ! Je savais que c’était toi.
La foule était très choquée.
-Tu as tué mon père ! A ton tour de mourir !
Je sorti mes deux lames secrètes et les planta dans les pieds des deux templiers puis me leva et les planta dans leurs mentons. Ils tombèrent par terre.
-Pas mal ! Vraiment pas mal ! Mais ce n’ai fini. Je n’ai pas dit mon dernier mot.
Il fit un geste de la main et d’autres templiers survinrent dans la cour.
-Que dis –tu de ça ?
Je fis moi aussi un geste de la main et tous les templiers tombèrent à terre.
-Mais…Comment est-ce possible ?
-Moi aussi j’ai mon armée.
Je courus vers lui, lui sauta dessus en lui plantant ma lame dans sa gorge.
-Tu as tué mon père. Tu l’as bien mérité.
-Crois-moi assassin, c’est loin d’être fini. C’est même très loin.
-Quoi ?!
-Tu viens de tuer le chef des templiers. Ils vont déclarer une guerre. Crois-moi assassin. Crois-moi…
Je me releva, regarda la foule qui était en état de choc.
-Les templiers ont déclaré la guerre ! Cet homme que j’ai tué devant vos yeux à tuer mon père ! Ce n’ai pas eux qui m’arrêterons aussi facilement !
Je remettais ma capuche.
-C’est moi qui l’ai arrêterais !
Je repartis sur le toit, regarda la foule. La police et l’ambulance arriva. Laura ma meilleure amie me regarda, puis regarda le cadavre et regarda de nouveau le toit ou j’étais positionner. J’avais disparus. Je remontai dans la camionnette et nous repartions au repaire. Deux jours plus tard je reçu un appel de ma mère.
-Allo maman ?
-Des hommes étranges sont venus à la maison. Je crois qu’il te cherche. Je suis dans ma chambre. Il monte je dois raccrocher. Dépêche-toi Mickael…
-On doit se mettre en route pour chez moi !
-Pourquoi ?
-Les templiers ont retrouvé ma mère.
-On y va.
Arriver à la maison je sorti du camion tout énervé et alla à la porte d’entrée. Deux hommes y étaient postés. Je sorti mes deux sabres et les planta dans le ventre des deux hommes. Ensuite je donnai un coup de pied dans la porte et elle s’ouvrit. En même temps je sorti mes deux pistolets à mèches qui étaient derrière mon dos, visa la tête du templier de gauche et celui de droite et tira avec les deux pistolets. Les deux hommes tombèrent par terre en même temps. Je montai les escaliers. En haut, un couloir. Sur les cotés deux portes à gauche et à droite. En face, une fenêtre. J’entendis ma mère qui pleurait derrière la deuxième porte de gauche. J’ouvris la porte. Derrière cette porte, un templier tenait ma mère en lui mettant son pistolet sur sa tête. La fenêtre droite de la chambre était ouverte. Il faisait sombre. Le templier me visa et tira rapidement. J’eu le temps d’esquiver la balle. Je passai par la fenêtre du couloir pour aller à la fenêtre de la chambre. Arriver dans la chambre, j’utilisai les coins sombres de celle-ci pour que l’ennemi ne me repère pas.
-Tu n’as pas honte de t’attaquer à une personne plus faible que toi et qui n’a rien à voir dans cette histoire ?
Le templier semblait avoir peur et transpirait beaucoup. Il regarda partout autour de lui.
-Qu…qui êtes vous ?
-Quelqu’un qui va te faire regretter ce que tu as fais à ma mère !
Je me glissai derrière son dos et lui dit à l’oreille :
-Tu as eu tord de faire ce que tu as fais. Adieu templier !
Je plantai ma lame dans son dos, il tomba par terre et je lui replantai dans le cou. Ma mère fut très choquée.
-Ca va aller. Tu es en sécurité avec moi maintenant.
Elle me serra fort dans ces bras et me chuchota à l’oreille :
-Merci beaucoup. Je suis fier de ce que tu es devenu. A présent il faut que tu remplisses ta mission. Il faut que tu te débarrasse de ses templiers pour en finir pour de bon avec cette histoire.
Je me demandai comment elle était au courant de toute cette histoire.
-Comment sais-tu que ces hommes étaient des templiers ? Et comment savais-tu que j’allais devenir un assassin ?
-Je t’expliquerai tout ça plus tard. Pour l’instant il faut partir d’ici.
Nous partons de la maison et allons dans le camion. Arriver au repaire, j’avais arraché une affiche. Il y avait une photo de moi et il était écrit : « Donnons rendez-vous à l’assassin sur la grande place sinon nous tuerons tous les habitants. »
-Ca y est. Je suis recherché par tous les templiers. La galère. Je vais aller sur la grande place. J’en ai marre de me cacher. Moi aussi je déclare la guerre.
-Tu ne vas pas faire ça ?
-Préparez-vous.
-Comme tu voudras. Nous allons à la grande place.
Il y avait beaucoup de monde. Je descendis du camion pour aller au rendez-vous. Je voyais des templiers camouflés en vêtements quotidiens grâce à la vision d’aigle. Je me mis au milieu de la foule.
-Chers habitants ! Une guerre se prépare. Les templiers contre nous, les assassins !
Les journalistes et les caméras étaient pointés sur moi.
-J’en ai marre de me cacher tout le temps.
J’enlevai ma capuche pour montrer mon visage.
-Je m’appelle Mickael. C’est moi qui ai tué l’homme au collège. Mais cet homme était un templier. Mettez-vous à l’abri dès maintenant ! Les assassins feront tout pour gagner cette guerre. Je lance une alerte ! Cachez-vous ! C’est tout ce que j’ai à dire. Je l’ai dis pour vous protégez. Alors s’il vous plait, ne m’arrêtez pas. Les habitants coururent pour aller se cacher.
Dans un appartement sombre il y avait un homme qui regardait les infos. Son visage était caché dans l’ombre. Il fit un sourire et dis :
-Enfin je t’ai retrouvé ! Mon fils !
Chapitre III FIN
Cette nuit, cela fait exactement dix ans
que je l’ai vue pour la première fois.
Le moment est enfin venu de raconter toute l’histoire.
J’ai décidé de révéler entièrement les faits
dont nous avons été témoins,
Yumi Ishiyama, Ulrich Stern, Odd Della Robbia et moi-même,
Jeremy Belpois. Et, bien sûr, Aelita.
Il n’y a pas un jour où je ne pense pas à elle.
Cette histoire est dédiée à mes amis,
en particulier à Aelita.
Peut-être m’entend-elle encore en ce moment…
Jérémie
. Imagine si tout le monde créait un tropic pour en écrire une… 
Ton album de fanfics est spécialement fait pour ça.
