Sujet : [JEU] Écritures d'invention

Moi j'ai un texte mais j'ai peur qu'il soit un peu long ! C'est pas grave si le texte est long ?

Moi mon texte fait 1 page word et 3 lignes ! XD

Moi mon texte fait 1 page word et 3 lignes ! XD

Moi j'ai un texte mais j'ai peur qu'il soit un peu long ! C'est pas grave si le texte est long ?

N'hésitez surtout pas ! Plus c'est long, mieux c'est pour une lecture approfondie, surtout que l'histoire sera donc plus intrigante du fait que l'extrait de celle-ci en dévoilera suffisamment pour que l'on s'y intéresse envers une éventuelle suite au cours d'une Fiction.
Le thème proposé est très varié, les sujets pouvant être abordés sont véritablement nombreux. Il est donc normal que vous ayez développé un extrait ou un récit plutôt long, à la différence du fait que le choix imposé par Destyny n'est pas une contrainte. Il s'agit plutôt d'une imposition de thème. D'ailleurs, la plupart de nos textes fictifs sont des textes fantastiques, n'appartenant pas au réalisme mais plutôt au surnaturel. J'ai hâte que vos textes soient publiés, c'est sincèrement une lecture plaisante, débordante d'univers imaginatifs et très intéressants.

Ok bon j'ai pas entièrement finis mais des que c'est bon je publie

je pense participer mais bon ce sera pas du grand art

Voilà mon texte :

L’histoire que je vais vous raconter est une formidable histoire ! Je m’en vais vous la conter.

Par un superbe matin d’été du mois de mai, j’eus l’envie de sortir de chez moi pour aller respirer le bon air et sentir la fraiche rosée qui était encore posée sur les hautes herbes. Je me levais, pris mon petit déjeuner et pris mon manteau afin de sortir pour remplir cet infini désir qui m’avait poussé hors de mon lit.
Je me mis donc à marcher et à flâner sur un petit chemin parsemé de taches multicolores sous forme de cailloux et de feuilles, des brindilles craquèrent délicieusement sous chacun de mes pas. Quand, soudainement, je vis un jardin très particulier avec une merveilleuse cascade. Je regardais ma montre, car j'avais un rendez-vous pour un entretien d'embauche. Il était 6h moins 20 ! Mon rendez–vous était à 9h 00 – J’avais décidé de me lever tôt pour pouvoir profiter de l’aube et de l’aurore –.
D’ailleurs, le soleil –cet astre magnifique qui nous éclaire et nous réchauffe le cœur – venait à peine de se tirer de son profond sommeil pour nous réveiller, nous, à notre tour.
Bon, bref … j’en reviens à l’histoire ! Je décidais donc, vu que j’avais le temps, de m’arrêter et de m’assoir, pour méditer, sous un grand arbre, style saule pleureur. Je fermais les yeux et me détendais. Je me laissais bercer par le doux clapotis de l’eau qui tombe, tel un long fil de soie, sur des pierres recouvertes d’une mousse moelleuse d’un vert–de–gris somptueux. Je méditais longuement ! Je respirais à pleins poumons ! Une sensation de bien être me parcourut de la tête jusqu’aux pieds ! J’étais serein ! 1 heure passa, puis 2 heures ! Quand, soudain, j’entendis un sifflement bizarre, à la fois strident et magnifique. Je décidais alors de chercher la source de ce bruit. Au bout de quelques minutes, je vis qu’il y avait, derrière la cascade, une grotte sombre et obscure. Comme j’avais le temps, je pris donc le parti de l’explorer méticuleusement. J’y entrai, avec un mélange de peur et d’adrénaline, à tâtons, car on n’y voyait absolument rien. Je sentais les parois humides sur mes mains sèches. Je progressais dans cet antre où s’évaporait une odeur putride. Quand, tout à coup, le sol se déroba sous mes pieds. J'aperçu un bras mais qui arriva trop tard et donc je chutais dans un gouffre béant, dans un trou sans fond.
Après une longue chute de quelques secondes qui me semblaient des minutes interminables. Enfin, j'atterris sur quelque chose de dur. Je regardai alors autour de moi, mais une lumière blanche m'éblouissait … une lumière … comme … le mot magique irait très bien pour la décrire. C’était donc une lumière magique, blanchâtre et immaculée !
Je me dis : « je suis au paradis … c’est impossible … ça doit être un rêve ». L'éblouissement s'en alla et la visibilité devint plus précise. Là, flottait dans l’air une odeur de chocolat ! Je vis que j’avais atterri sur … sur une table en bois, où tout m’effrayait. Le poivrier était énorme ! Le beurre, gigantesque ! Le pain me dépassait d'une tête, voire plus ! Je pris peur et essayai de m'enfuir ! Mais « PAF » ! Je me cognai contre une paroi invisible. « Qu'est–ce que… » pensai–je. Quand j'entendis un bruit sourd qui se rapprochait de moi. Le bruit faisait trembler le sol. C’était des bruits de pas. Je ne savais pas où j'avais atterri mais j'eus le sentiment que je ne devais pas traîner ici ! Je regardais paniqué tout autour de moi, à tâtonner ce « mur de verre », afin de chercher de quoi… comment… un moyen de s'échapper.


J'avais atterri dans un château. Soudain, les bruits de pas s'arrêtèrent. Je levai les yeux, pour voir ce qu'il se passait. Je vis, devant moi, un énorme ogre. Je me frottai les yeux ! Non, je ne rêvais pas !
Il dit : « Tiens ! Un humain est tombé dans mon piège ». L'ogre saisit, d'une poigne de fer, l'enclos où j'étais fait prisonnier. Il me prit entre son pouce et son index, me leva dans les airs, me rapprocha de sa « gueule ». Il sortit sa langue énorme de sa grosse bouche et me lécha. Il murmura : « Hummm ! Tu es goûtu, je vais me régaler de toi ». Il ouvrit sa grosse bouche. Son haleine avait une odeur de chocolat. Je vis ses dents acérées prêtes à me croquer. Je me dis que c'était la fin pour moi.


Quand soudain, j'entendis une voix féminine, au loin. Alors, l’ogre me reposa sur la table et remit, en précipitation, ma « prison de verre ». Par chance, dans sa précipitation, il avait mal remit le couvercle, de telle sorte qu'il y avait un petit interstice de 3 à 4 millimétrés. Ce qui me suffisait amplement pour m'évader. J'en profitais donc qu'il ait le dos tourné pour vite m'échapper, et me réfugier derrière l’un des murs du château. J'entendais la conversation de l'ogre avec, je ne le sus qu’après, sa mère. Il a demandé : « Mais … Maman, qu'est–ce que tu fous là ? ». Sa mère, voyant le couvercle du beurre – que je prenais pour une prison – sur la table, répondit : « qu'est–ce que c'est que ça ? … Je t'ai déjà dit 100 fois que je ne voulais pas que tu manges d'humain, Brandon ! ». « Mais maman, … – Il n'y a pas de mais, file dans ta chambre ! ». Il baissa la tête et obéit.
Après cela, je voulus m'éclipser. Mais je tombai nez à nez avec des yeux d'un vert perçant. Je compris que c'était un chat. Il s’approcha doucement, lentement de moi. Il me coinça contre le mur. Il m’attrapa, à me faire broyer les os. Il se lécha les babines. Tout à coup, il poussa un grand : « MIIIAAAOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUU ! ». Je vis, derrière lui, la mère qui le chassait à grand coup de balai. J'entendis la mère dire qu'elle en avait marre que ce chat traîne partout dans la maison et surtout qu'il soit dans ses pattes. Il me lâcha ! J'en profitais pour courir vers la sortie !
La mère, qui avait repéré ma présence, se mit à me poursuivre.
J'essayai de courir le plus vite possible. Quand j'atteignis la sortie, je ne freinai pas car l’ogresse était toujours à mes trousses. Je vis un trou parmi tous ces nuages – car le château était sur des nuages blancs –, avec la pointe d'une plante qui dépassait.
Je sautai dans le trou et je m’accrochai à des branches de cette plante magique. L’ogresse me poursuivait encore ! Je sortis donc mon opinel pour couper la plante, pour empêcher qu'elle me suive. Je descendis cette espèce de haricot magique et me retrouvai sur un petit chemin parsemé de taches multicolore sous forme de cailloux et de feuilles. Je passai devant un jardin très particulier avec une merveilleuse cascade. C'est là, que je vois un homme assis, pour méditer, sous un saule pleureur. Il se leva, comme semblant chercher quelque chose. Il entra dans une grotte. Je le suivis, je ne sais pas pourquoi. Quand tout à coup, je le vis tomber dans un trou. J’accourus alors pour le secourir et lui tendis mon bras. Malheureusement, j’arrivais trop tard …

Good luck pour lire XD !

Très sympa ton texte quoi qu'un peu difficile d'entrer au départ. J'ai cependant l'impression que tu as écris du merveilleux plutôt que du fantastique (le château, l'ogre, le haricot). Ce n'est pas le souvenir que j'avais du style. Néanmoins ça ne m’empêche pas d'avoir aimé ta boucle spatio-temporel qui m'a fait pensé à la fois à bioshock infinite et à myst.
J'attends les autres textes pour te noter mais je vais galérer à faire un style aussi travaillé pour mon texte.

Je me suis lancé un défi : je vais écrire une histoire complète avec les différent contrainte et thème imposé sous forme de chapitre. Donc voici le second ! Et comme j'y vais a fond voici un main theme de mon histoire intitulé 2T1C3L6M. et j'ai mis une musique d'ambiance dans le texte donc si vous voyez un lien faite Ctrl + clique gauche et continuez a lire le texte
( PS : tout a la fin il y a une grossièreté )
( PS2 : Il y a quelque partie que j'ai écrite très tard donc il y a surement des fautes que j'ai pas remarquez )

Désolé du double post mais :up:

@nico0592: En effet, un très bon texte avec des éléments bien imaginés et bien pensés (notamment la référence à BioShock Infinite). Sinon, c'est vrai que tu as confondu parfois les deux registres littéraires (merveilleux, fantastique) en les mélangeant à certains moments. Cependant, le fantastique peut-être mélangé à d'autres genres : notamment le merveilleux (ce qui est donc conforme à la règle imposée ).

@Marvin3099 : J'ai bien aimé ton texte par rapport au domaine de l'enquête policière (notamment ici de faire retrouver la mémoire du personnage en lui racontant une enquête passée). La narration est assez dynamique et prenante du début à la fin. Hâte d'en apprendre plus sur la suite . (La dernière grossièreté sinon m'a bien fait rire ).

Voici mon texte alors qui mélange aussi deux registres différents :

8 Novembre 2022, 15h37, à Ottawa.


«Et oh ! Ryan, tu es toujours avec moi ? Allez Ryan ! Écoute-moi ! Allez ne me laisse pas là, ici, maintenant ! Il y a un problème tu vois, mais c'est rien ! Ne t'inquiète pas, les médecins ne sont pas là pour le moment car il y a un petit souci, essaye juste de te reposer un instant et tout ira bien. 

Un bruit assourdissant interrompit la conversation. Des dizaines de personnes courraient dans les couloirs de tous les étages de la clinique, l'armée était venue de pied ferme, des coups de feu se faisaient entendre et des hurlements de souffrances stressaient Ryan, lui, qui était blessé à sa jambe droite par une balle d'un des assassins qu'il poursuivait.

-C'est quoi ces bruits Mark, où je suis au juste ?
-Tu es à l’hôpital ! Bon sang, Ryan ! Allez, je dois te laisser, les médecins vont se charger de toi !
-Tu me le promets, il n'y a aucun souci à l'extérieur ?
-Non, non, j'irai te rendre visite… tout à l'heure.
-A plus tard alors…, mais n'oublie pas de dire à ma femme et à ma fille que…
-Ok (l’interrompant directement), je leur dirai, bon allez j'y vais… »

Date Inconnue, à Ottawa.

« Ah…, j'ai un sacré mal de crâne et je suis aussi très courbaturé…
Mais je suis où, toujours dans cet hôpital ! Pourtant je croyais que mon accident remontait à loin ! »

Se rappelant de l'accident, il prit directement l'initiative de regarder sa cicatrice lorsqu'il vit alors que sa blessure n'était pas hospitalisée. Directement surpris, il décida d'appeler l'infirmière qui néanmoins ne venait pas. Étant inquiété et à la fois énervé, il décida de téléphoner à sa famille qui elle ne répondit point non plus. Il décida donc de s'habiller et de quitter cette pièce, bien que sa blessure le ralentissait véritablement. Il se précipita donc vers la porte, il força sur la poignet mais la porte ne cédait pas. Il força de toutes ses forces et finit par réussir à l'ouvrir, trébuchant cependant sur sa jambe blessée. Il se releva et se mit à marcher longuement en boitant dans le couloir.

« Il y a quelqu'un ? J'ai besoin d'aide ! Aidez-moi s'ils vous plaît , je suis blessé ! »

Désemparé, il s'assit un moment pour soulager sa jambe. Il put aussi par l'occasion, observer précisément les lieux. Tout était en désordre, des médicaments et des seringues plaquaient le carrelage du couloir, des armes, des cartons, des lits, des sacs plastiques et du verre étaient dispersés ainsi que notamment l'obscurité qui caractérisait ce couloir. Il vit alors une horloge dans laquelle il lit la date : 4 Janvier 2023, 6h59. Voyant l'année, il sursauta et comprit ce qui lui était arrivé entre-temps, sachant qu'il savait et qu'il était persuadé que son accident remontait à l'année dernière. Ryan voulait et devait savoir ce qu'il se passait désormais. Il se remit debout et continua de marcher jusqu'à la porte d'en face. Des terroristes étaient venus mettre l'hôpital dans cet état déplorable, probablement la seule réponse crédible dont il avait. Il prit, aussitôt vu, le pistolet traînant sur le sol. Il regarda et il compta les balles que disposait le chargeur. Une balle, soit une seule chance de s'en sortir au cas où il se trouverait dans une mauvaise posture. Il continua sa route, dont la seule motivation resta de sortir le plus rapidement possible du bâtiment. Il arriva enfin devant la porte menant aux escaliers et à un ascenseur. Malheureusement, la porte était, elle aussi, barricadée et bloquée. N'ayant plus de force, il s'assit de nouveau et regarda ce qui se trouvait plus précisément derrière cette porte. Il vit flou et n'arriva pas distinguer ce qui s'y trouvait. Il aperçut un corps mais il était impossible de voir plus en détails. Les minutes passèrent et il essayait de mieux voir en changeant de positions régulièrement.
Soudain, un bruit étrange attira son attention, celui-ci se trouvait sans doute à l'autre bout du couloir puisque on l'entendait à peine. Ryan se retourna et il vit un homme, sorti d'une chambre tout au bout et qui se précipita vers lui. Il boitait et était recroquevillé. Il ne semblait pas voir correctement, il se cognait la tête contre les portes et même les lits. Il était souffrant.

« Monsieur, je suis blessé ! Vous l'êtes aussi ! Qu'est-ce qui se passe ? Où sont les médecins ! Pourquoi sommes-nous tombés dans un coma ? Il y a eu une attaque de terroriste ?»

A ces mots, l'homme se mit à accélérer ses déplacements et se dirigea vers Ryan pour l'aider probablement…

Juste une questions : es-ce que le jeux continue ou on abandonne ?
Sinon Zaxel ton teste était vraiment sympa

Merci beaucoup, dire que j'ai écrit ce texte au fil de la plume (et ça se voit un peu) .
Pour la continuation du jeu, tout dépend de l'avis de Nico. S'il ne souhaite pas continuer ou bien que le topic n'a plus du tout d'activité, autant le fermer et l'archiver (ce qui est dommage cependant :/).

Si les membres montrent un intérêt grandissant pour ce topic, on le continueras !

Sinon, je ne veux pas animer des choses qui de toutes façon n’intéresse pas grand monde et va finir à la poubelle dans un coin sombre et reculé du forum, oublié de tous.

C'est dommage que l'activité régnante sur ce topic soit quasiment nulle. Il pouvait permettre aux membres de davantage laisser parler leur imagination en écrivant leurs propres textes. Cela n'explique pas pour autant ton rabaissement personnel. Le Forum en lui-même ces temps-ci n'est très actif comme tu peux le voir en raison de prochains jeux/événements de la saga assez lointains, tous les topics en général ne connaissent pas un fameux succès je dois dire. Même si on n'est que trois ou quatre à y participer, on peut toujours néanmoins continuer à poursuivre les rédactions car cela plaît toutefois à quelques personnes et c'est déjà une bonne chose. Beaucoup sont les topics clairement inactifs (tu n'as qu'à regarder la liste des topics dans laquelle tu pourras apercevoir certains d'entre-eux n'ayant aucune réponse) mais celui-ci reste tout de même apprécié et je peux te le garantir. L'idée en elle-même du topic est tout à fait géniale : pouvoir rédiger une mini-fic ou bien une partie de sa fiction pour la présenter aux autres et leur donner l'eau à la bouche pour une prochaine suite par l'intermédiaire d'une publicité (qui pourrait bien, renforcer davantage l'activité du côté Fan-Fics également). Ne te décourage pas, crois-moi, ton topic n'a aucun intérêt à être fermé et il se pourrait bien qu'il connaisse une activité plus forte un peu plus tard (et je l'espère). Personnellement, je pense faire partie des trois ou quatre personnes qui continuent à s'intéresser au sujet de ce topic .

Si on peut d'ores et déjà commencer la phase de vote, je pense choisir le texte de Giko-Kakola, un très bon texte comme je l'ai dit avec une bonne narration, un drôle d'aspect comique et un domaine type "enquête policière" très appréciable .

Moi je vote pour moi même Zaxel.