Author: SilverGroover
0 comments
78 vues
Au même moment.
Quelque part à l’autre bout de la galaxie de Solana. Après le rond-point, vous tournez à droite au feu et c’est tout droit …
Nous retrouvons deux personnages sur un petit bout d’astéroïde. Il s’agit du maléfique Docteur Nefarius et de son major d’homme Lawrence, une basse dans les bras et toujours sa perruque de Rob Stewart sur la tête.
LAWRENCE : (Jouant et chantant) « If i knew ! Being here with you today ! Would mean being alone tomorrow ! I would gladly trade ! All of my tomottows away ! For a moment with you ! Brown eyed blues ! You can find yourself another fool ! … »
NEFARIOUS : « Ca suffit Lawrence ! Cette musique me casse les oreilles ! Je ne peux même plus m’entendre réfléchir ! »
LAWRENCE : « Veillez m’excuser monsieur ! Je me suis légèrement laisser emporter ! »
NEFARIOUS : « Il faut que je trouve un moyen de quitter ce satané caillou ! Puis j’élaborerai un nouveau plan pour me venger de ce maudit Capitaine Qwark et ses damnés Ratchet et Clank ! »
LAWRENCE : « Et par la même occasion, vous pourriez en profiter pour prendre quelques cours de batterie ! »
NEFARIOUS : « Je n’aurais pas le temps, Lawrence ! Il me faudra reconstruire une autre base secrète sur Dax ou ailleurs ! Me recréer une nouvelle armée de robots enragés et en plus … AAAYYEEEE !!!… »
Un objet errant dans l’espace vient heurta le Docteur Nefarious dans son dos. Cette objet en acier de la taille d’un cercueil s’avèra être en réalité la capsule de survie contenant le corps d’Ace Hardlight, en état de vie suspendue.
NEFARIOUS : « Qu’est-ce que c’est que ce truc ! Lawrence ! Débarrassez-moi de cette chose !… »
LAWRENCE : « Je ne ferais pas ça, monsieur ! Il s’agit d’une capsule de survie, contenant le corps d’un homme en détresse ! »
NEFARIOUS : « Je m’en fiche, Lawrence ! On n’a pas assez de place sur ce fichu cailloux pour garder un frigo en ferraille avec de la viande froide dedans ! »
LAWRENCE : « Heu ! Monsieur ! Ce frigo, comme vous dite, possède une balise de détresse ! »
NEFARIOUS : « Et alors ! »
LAWRENCE : « Alors ! Cette balise de détresse émet un signale qui peut être capté par des vaisseaux alentours ! Et ils viendront la récupérer là ou elle se trouve !
NEFARIOUS : « Blablabla ! Et qu’est-ce que ça, a à voir avec nous ! »
LAWRENCE : « Et bien monsieur ! Si nous gardons cette boite avec nous, ceux qui viendrons la chercher tomberont également sur nous et pourront nous secourir par la même occasion ! »
NEFARIOUS : (Une étincelle dans les yeux) « Mais oui ! Si nous gardons cette boite avec nous, les secours qui viendront la récupérer, nous sortiront de là ! Lawrence, quelle merveilleuse idée !… »
LAWRENCE : (Flatté) « Oh ! Merci monsieur ! … »
NEFARIOUS : « Je suis vraiment un génie ! »
LAWRENCE : (Ce parlant à lui-même) « Heum ! Blablabla ! »
NEFARIOUS : (Excité comme une puce sur le dos d’un chien) « Et dés que les secours nous aurons récupérer ! Je me vengerai de Qwark et de ce maudit lombax ! J’attaquerai encore Métropolis, BlackWater City et toutes les autres planètes de la galaxie de Solana ! Il n’y aura bientôt plus un seul bouseux dans toute la galaxie ! Ma victoire sera totale, TOTALE !! HAHAHA !… »
Mais alors qu’il débita sa tirade diabolique (improvisée puisqu’elle n’était pas dans le script), le Docteur Nefarious bouscula malencontreusement la capsule de survie contenant le corps de l’ex-exterminator. Celle-ci ce retrouva de nouveau à airer dans l’espace …
LAWRENCE : « Heu ! Monsieur ! Vous venez hélas de bousculez la … la boite ! (Sortant un mouchoir blanc de sa poche et l’agitant comme signe d’adieu) Elle nous quitte déjà malheureusement ! (Utilisant alors le mouchoir) Snif !… »
NEFARIOUS : (Furieux) « QUOI ? NON ! Ce n’est pas possible ! Tous mes espoirs envolés ! (Grognant) AAAARRRGGGG !!! »
LAWRENCE : « Désirez-vous que je vous apprenne à jouer de la basse pour faire passer le temps, monsieur !… »
NEFARIOUS : (Méga furieux) « Non ! NON ! ET NNOOONNNN !! LAWRENCE !!! »
Zip ! $% Clik !  Clak ! £§ Wiz ! @#
< Oh, Pamela ! Tu serras toujours l’amour de ma vie !>
< Oh, John ! Embrasse-moi grand fou !>